Un rouleau jauni était accroché au mur, encadré d'une bordure de tissu vert mousse broché d'un entrelacs de fils noirs. Les traits de pinceau du calligraphe, estompés par le passage des ans, composaient un message que l'on respectait et vénérait toujours.
"Le sabre donne la vie. Le sabre donne la mort."