On croit souvent que les montres ressemblent à des monstres. Qu'en les croisant, on reconnaîtra la lueur maléfique dans leur regard ou la bizarrerie de leur allure, de quoi donner l'alerte et se protéger. Mais les monstres ne ressemblent à rien, ou plutôt, en général, ils ressemblent à tout le monde. (...) nombre d'histoires réelles viennent rappeler que loin de tout grandiose diabolique, les vies des monstres sont indiscernables, fréquemment ternes, et pour tout dire, au quotidien, minables.