Tous les taudis du tiers monde sont les mêmes, songe-t-il. Partout la même boue ou la même poussière, tout dépend du climat et de la saison, les mêmes odeurs de charbon de bois et d'égouts à l'air libre, le même spectacle monotone et désespérant d'enfants mal nourris, aux ventres distendus et aux yeux trop grands.