Melissa était poursuivie par un logiciel pris d’une folie meurtrière.
L’image n’était pas tout à fait exacte, bien sûr. Le logiciel lui-même ne ressentait rien. Ni émotion, ni désir de vengeance. Il se contentait d’obéir à un programme capable de simuler des sentiments. Le logiciel ne pensait rien et n’éprouvait rien, contrairement à un être humain. Ce n’était qu’un programme.
Il n’en était que plus dangereux.