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Citation de genou


Il monta jusqu’au haut, mais ne put ouvrir la porte qui se trouvait à l’extrémité de l’escalier. Il redescendit et fut rejoint par l’inspecteur. Ils descendirent jusqu’à la cave et ouvrirent la porte.

— Il fait plutôt chaud, remarqua M. Reeder. Il doit y avoir du feu quelque part.
À côté du fourneau il vit un morceau de métal, et dans ses yeux, on put lire la lueur de la victoire.

C’était une plaque avec laquelle on pouvait tirer des billets de 5 livres.
La cave était vide.

— Cette plaque a été gravée quelque part en haut. Mais que fait ce tuyau ? Ah ! évidemment… je ne le croyais pas… mais il a toujours raison.
— Qui ? demanda le policier.

— Un de mes vieux amis qui disait que, sûrement, il y avait un système permettant de détruire toutes les preuves si la police arrivait. Mais pourquoi diable ont-ils précipité cette plaque ici, alors qu’il n’y a personne… à moins que… Procurez-moi une barre de fer pour ouvrir la porte du haut.

Il fallut presque une heure pour opérer l’ouverture. Reeder entra, puis se retourna et fit un bond. Allongé près du mur, échevelé, tâché de boue, les vêtements froissés, Peter Kane était endormi.

Ils le traînèrent jusqu’à une chaise et l’aspergèrent d’eau froide. Au bout d’un moment, il revint à lui.

— Il a été drogué, c’est évident, dit M. Reeder en examinant les mains de l’homme. Mais il n’y avait aucune trace de sang. D’ailleurs les premiers mots de Peter montrèrent qu’il ignorait le meurtre.
(p149/150)
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