La victoire, dans laquelle on sent la diminution capitale, sinon l'anéantissement, de l'ennemi, ôte de son poids à la lamentation de ses propres morts. On les a envoyés en avant-garde au pays des morts, et ils y ont entraîné bien davantage d'ennemis. Ils ont ainsi délivré chacun de la peur sans laquelle personne ne serait parti à la guerre.