L'absence d’expression concrète, physique, de l’amour maternel se traduit par la détresse. Comme le dit Janov, « un stress important ou un sentiment d’abandon au cours de ses deux premières années peut provoquer une sorte d’élagage de ses neurones corticaux qui peut diminuer sa faculté d’affronter le stress à l’avenir ». Les bébés que l’on n’a ni touchés ni pris dans les bras ont des taux d’hormone de stress anormalement élevés, comme l’a révélé une enquête sur des orphelins roumains.