Cette indignation, cette désolation du grand chirurgien résument la vision des médecins militaires : militaires, soit, mais médecins d'abord. Les progrès des armes amènent ainsi les chirurgiens de guerre à devenir des experts en traumatologie. Ils maîtriseront l'amputation, la transfusion, l'extraction des projectiles, le soin des grands brûlés...