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Critiques de Eric Frattini (2)
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Cosa Nostra : Un siècle d'histoire

L'histoire des cinq familles mafieuses qui se sont partagés les différents quartiers de New-York depuis les années vingt. Ce système fût instauré sur l'initiative de Luciano, qui pris lui-même la tête de sa propre "famille". La suite de l'histoire est une succession de luttes d'influence dans

les "familles", mais également entre les "familles".Ce qui occasionnera quelques assassinats (assez peu en vérité).

Ce livre se lit comme un livre d'histoire, il est plutôt bien documenté.

Le seul reproche que je ferais à l'auteur, c'est d'avoir passé sous silence les liens des mafieux avec le monde politique,juridique,des affaires, sans qui la Mafia n'aurait jamais pût atteindre ce niveau de pouvoir.

Le" pouvoir" s'est laissé corrompre, il a laissé le loup entrer dans la bergerie... A moins qu'il n'y est que des "loups" et que celà ne soit qu'une histoire de pouvoir.

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Cosa Nostra : Un siècle d'histoire

1. : Admirateurs du « Parrain » , suiveurs des « Soprano » ,ce livre est pour vous ! Il décrit l’origine et l’histoire de « Cosa Nostra » l’organisation mafieuse des italo-américains. Appuyé par des archives déclassées du FBI et des archives journalistiques cet ouvrage donne une base réaliste à toutes les extensions mafieuses de la fiction.
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- "Ma fille vous demande pardon ; elle n'était pas encore tout à fait prête. Votre Excellence sait comment sont les bonnes femmes dans ces occasions", ajouta-t-il en exprimant en des termes quasiment vernaculaires une pensée d'une légèreté parisienne. "Mais elle sera là dans un instant ; notre maison est à deux pas comme vous savez." L'instant dura cinq minutes ; puis la porte s'ouvrit [...] Devant l'impétuosité de sa beauté les hommes furent incapables d'en remarquer, en les analysant, les défauts qui n'étaient pas rares ; et nombreuses devaient être les personnes qui ne seraient jamais capables de cette élaboration critique. Elle était grande et bien faite, sur la base de critères généreux ; sa carnation devait posséder la saveur de la crème fraîche à laquelle elle ressemblait, sa bouche enfantine celle des fraises. Sous la masse des cheveux couleur de nuit enroulés en d'exquises ondulations, il y avait l'aube de ses yeux verts, immobiles comme ceux des statues et, comme eux, un peu cruels. Elle avançait lentement, en faisant tournoyer sa large jupe blanche et portait sur sa personne la sérénité, l'invincibilité de la femme sûre de sa beauté. Ce n'est que bien des mois plus tard que l'on sut qu'au moment de son entrée triomphale elle avait été sur le point de s'évanouir d'anxiété." (Vignette)

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