AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Erin E. Stead (42)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


A-A-A-A-Atchoum !

Un belle histoire d'amitié avec des images pleines de douceur.



Amos McGee a une vie réglée comme une pendule, il va tous les jours au zoo voir ses amis les animaux, ils jouent aux échec, font la course, lisent une histoire... Mais un jour Amos ne vient pas, alors tous ses amis décident de venir le voir.
Lien : http://latetedelart2.blogspo..
Commenter  J’apprécie          140
A-A-A-A-Atchoum !

Quel bel album empreint de tendresse et d'amitié! J'ai été séduite par l'histoire puis par les illustrations qui sont truffées de détails amusants.
Lien : http://passeurdereves.jimdo...
Commenter  J’apprécie          00
A-A-A-A-Atchoum !

Un éléphant qui joue aux cartes avec un pingouin et un vieux monsieur au nez rouge en pyjama, je me suis dit que ce livre était plein de promesses. Le vieux monsieur s'appelle Amos, il est propre sur lui et se tient bien, il a des manières, le vieux. Chaque jour il va travailler au zoo. Il s'occupe des animaux: il fait la course avec la tortue qui gagne toujours, lit des histoires au hibou, joue aux échecs avec l'éléphant, etc. Un jour, Amos ne sait pas se lever à cause d'un gros rhume. Les animaux l'attendent, en vain et décident de quitter le zoo pour retrouver leur ami... La dernière page est juste magnifique
Lien : http://mesmotsenblog.blogspo..
Commenter  J’apprécie          20
A-A-A-A-Atchoum !

Un livre plein de tendresse, les dessins sont aussi très jolis.
Commenter  J’apprécie          00
A-A-A-A-Atchoum !

Amos est gardien de zoo et, malgré des journées bien remplies, il trouve toujours du temps à consacrer à ses vieux amis: une partie d’échec avec l’éléphant, une course contre la tortue, un moment doux avec le manchot timide, un geste attentionné pour le rhinocéros et une histoire à la chouette. Mais aujourd’hui, Amos est malade et ne peut pas sortir de son lit… Qu’à cela ne tienne, ce sont donc ses amis qui viendront à lui!



Voilà une bien jolie histoire d’amitié, à la fois douce et tendre, servie par de magnifiques illustrations “so british”, tant dans le choix des couleurs et des motifs que dans le style! La finesse du trait et la multitude de détails dans chaque illustration servent à merveille la délicatesse de cette histoire où la solidarité et la bienveillance sont de mise! C’est mignon et terriblement émouvant avec en prime un final de toute beauté! Choubi, à 23 mois, était charmé et maman, avec quelques décennies de plus, aussi!
Commenter  J’apprécie          170
A-A-A-A-Atchoum !

C'est un très joli album, sur le thème de l'amitié et de la solidarité. C'est tendre, et ça fourmille de petits détails mignons, qui ne manqueront pas d'être relevés par la vigilance toujours épatante des enfants : le nounours avec lequel Amos dort, les pantoufles en forme de tête de lapin, la petite souris et le petit oiseau qui ne sont jamais loin, et le ballon rouge, sorte de fil rouge de l'album... Les illustrations, au crayon de papier et délicatement colorées au crayon de couleur pastel (du moins, c'est l'impression que j'ai), donnent un je ne sais quoi de délicieusement suranné et rétro à l'album. Un livre plein de bienveillance et de tendresse, pour passer un doux moment réconfortant. Hmm, ça fait du bien...
Lien : http://surlestracesduchat.bl..
Commenter  J’apprécie          60
A-A-A-A-Atchoum !

je recommande vivement! très touchant et superbes illustrations
Commenter  J’apprécie          00
A-A-A-A-Atchoum !

Je fonds devant les illustrations de Erin E. Stead. Il y a une certaine poésie du dessin chez elle. L'histoire je l'ai déjà racontée plusieurs fois à des groupes d'enfants et ils apprécient. l'histoire est toute douce toute mignonne et pourtant un peu cocasse et on ne peut que l'apprécier.
Commenter  J’apprécie          00
A-A-A-A-Atchoum !

Un livre pour les enfants mais aussi pour les adultes. Un livre sur l'amitié qui nous parle aussi de solitude et de tendresse. Le calme, la plénitude, le silence, la présence rassurante c'est ce que nous fait ressentir l'illustrateur dans la dernière page qui est tout simplement magnifique.
Commenter  J’apprécie          40
Et puis c'est le printemps

Voici un album empreint de délicatesse et de douceur tant dans les mots que dans les illustrations. Un petit garçon et ses trois comparses – une tortue, un chien et un lapin –, contemplent la nature alentour. Si la fumée sort encore des cheminées, l'hiver s'achève. Le printemps sera bientôt là. Finis bonnets écharpes et mouffles. Les animaux, tout engourdis par la saison froide, apparaissent doucement dans le paysage. La terre a pris une jolie couleur brune, prête à accueillir quelques graines...

Le garçonnet rempli alors son chariot de pots et de sacs de graines et commence ses plantations en oubliant pas de piquer un petit écriteau juste à côté. Puis vient la longue phase d'observations : guetter le sol, regarder le ciel, espérer un peu de pluie, souhaiter ensuite le soleil, écouter les petits bruits souterrains... Attendre patiemment le réveil du printemps.

Les images un brin rétro– la maison en bois rouge, le chariot, le pull rayé, le ciré jaune, le pneu-balançoire... – s'harmonisent à merveille avec la poésie du texte. Il se dégage de chaque page une grande sérénité et une foison de détails très drôles – la tortue qui observe les semis à la loupe, le chien qui détère un os, un oiseau avec une serviette autour du cou, le lapin qui grimpe dans un pot... Un album qui se déguste avec lenteur. Comme le petit garçon de l'histoire, on laisse le temps et le ciel faire son oeuvre pour découvrir avec bonheur enfin un peu de vert.


Lien : http://lesmotsdelafin.wordpr..
Commenter  J’apprécie          70
Et puis c'est le printemps

Un album empli de douceur et de poésie, comme un éloge à la lenteur et à l'observation de la nature.



Je cherche toujours de nouveaux livres pour la petite fille que j'accompagne. Au moment des changements de saison, j'essaie donc d'en trouver sur ce sujet, pour l'aider à se repérer dans le temps.



C'est l'histoire d'un petit garçon, accompagné de son chien, d'une tortue, et d'un lapin.

Cela commence à la fin de l'hiver. Le petit garçon, encore bien emmitouflé dans son écharpe, son bonnet et ses gants, est dans un champ... tout brun.

On le voit ensuite planter des graines.

Il retourne régulièrement dans le champ, mais rien ne se passe ; pas de plante à l'horizon.

Il s'inquiète. Il imagine des raisons, plus ou moins farfelues.

Il colle son oreille au sol, pour écouter s'il se passe quelque chose sous la terre.

Il patiente.

Jusqu'à ce que le brun ait disparu, et laissé la place au vert !



Au premier abord, j'étais sceptique. Même s'ils sont très beaux et doux, je trouvais les dessins peu enfantins, presque désuets.

Et puis, le côté poétique, qui me plaisait personnellement, sera-t-il au goût de la petite ?

Eh bien, j'ai été agréablement surprise, car elle a eu une très bonne compréhension de l'histoire (malgré le peu de texte), et on a beaucoup travaillé sur tous les détails que l'on retrouve sur les illustrations. Il y a de quoi faire et de quoi discuter.



Une belle surprise !
Commenter  J’apprécie          30
Et puis c'est le printemps

Cet album est d’une douceur et d’une beauté rares…
Lien : http://www.ricochet-jeunes.o..
Commenter  J’apprécie          10
Et puis c'est le printemps

Un petit album pour faire comprendre aux enfants qu'il faut du temps, dans notre société où tout va très vite, où on a tout assez facilement grâce à cette petite histoire on peut (essayer) de leur apprendre la patience.
Commenter  J’apprécie          30
Et puis c'est le printemps

J'aime beaucoup le texte de Julie Fogliano, concis et poétique. Elle fait durer des phrases sur plusieurs pages comme un jardin qui met du temps à se construire. Il y a aussi de belles touches d'humour quand le petit garçon cherche des explications à l'absence de verdure...







Les illustrations d'Erin E. Stead m'ont, en revanche, moins touchée. Je n'ai pas accroché au côté vieilli et j'ai été gêné qu'on ne puisse pas voir le regard du personnage caché derrière ses lunettes. En revanche, il y a des petits détails rigolos à regarder : le lapin qui arrose les graines, le chien qui surveille son plan d'os... Et quand même une scène que j'ai beaucoup aimé où le petit garçon écoute ce qu'il se passe dans la terre et où on voit toute la vie qu'on oublie trop souvent.
Commenter  J’apprécie          10
L'enlèvement du Prince Oléomargarine

"Un livre qui traverse le temps..."

... et né d'un rituel instauré par Mark Twain avec ses filles : elles choisissaient dans un magazine une image comme point de départ d'histoires contées par leur père. Au croisement d'Oliver Twist & des Chroniques de Narnia, cette histoire est une "belle fable sociale" contée avec talent et illustrée avec superbe!
Commenter  J’apprécie          10
L'enlèvement du Prince Oléomargarine

Il était une fois un écrivain de génie… Mark Twain a inventé de belles histoires, pleines de personnages attachants, de péripéties et de dialogues irrésistibles – Les aventures de Tom Sawyer et celles de Huckleberry Finn figurent sans aucun doute parmi les lectures les plus marquantes de notre petite famille. Imaginez-vous un peu la chance des filles de notre écrivain pour qui il inventait quotidiennement des histoires ! C’est ainsi qu’un beau soir de 1879, Mark Twain imagine une histoire aux allures de conte : dans un lointain et étrange royaume, Johnny, un jeune garçon dépourvu de tout est contraint de se séparer d’une poule qui est sa seule amie. La suite de l’histoire implique une mystérieuse vieille dame, des graines magiques, un prince, les animaux les plus inattendus et deux dragons… Si les histoires du soir de la famille Twain n’ont malheureusement jamais été documentées et ont disparu avec elle, l’écrivain a eu la présence d’esprit de consigner l’essentiel de la trame de celle de Johny sous forme de notes griffonnées.



L’enlèvement du prince Oléomargarine est le fruit du talent de Philip et Erin Stead, écrivain et illustratrice, qui ont entrepris de reconstituer le récit. L’objet-livre est de très belle facture, avec une belle couverture magnifiquement illustrée, un titre intriguant – et bien sûr, la perspective de découvrir une histoire inédite de Mark Twain ! Nous nous sommes donc plongés avec avidité dans cet album dont la lecture a été riche d’impressions.



La principale, surprenante, a été celle de retrouver la manière d’écrire de Mark Twain. Si, à la lecture de ses romans, mes garçons s’étaient surtout délectés des bêtises de leurs galopins de protagonistes, j’ai pour ma part pris conscience en les relisant avec eux de la vive critique sociale qu’ils expriment et qui confine souvent à la satire – qu’il s’agisse de l’hypocrisie morale de la société américaine, de la ségrégation sociale et raciale, de la violence éducative, ou encore de la prégnance des superstitions les plus farfelues... Comme je l’expliquais dans la chronique consacrée aux Aventures de Tom Sawyer, j’ai pu craindre d’avoir initié cette lecture un peu trop tôt. J’écrivais ainsi : « Le roman n’est pas construit autour d’une intrigue progressant de façon linéaire, mais plutôt par l’enchevêtrement de plusieurs lignes narratives développées en séquences irrégulières et interrompues par des chapitres plus descriptifs dans lesquels Mark Twain ironise, dans un langage fleuri, sur l’école du dimanche, les remèdes de charlatan de la tante de Tom ou encore la cérémonie d’examen à l’école. […] Rapidement convaincue qu’Antoine et Hugo percevraient ce type de passage comme rédhibitoire et se décourageraient vite, je dois reconnaître que je me suis trompée. Passionnés par les différentes intrigues, ils se sont impatientés à deux ou trois moments, mais n’ont jamais souhaité interrompre la lecture. Et la tension narrative monte en puissance à la fin du livre, si bien que nous n’avons pas regretté du tout ce choix de lecture. Par contre, de nombreuses explications étaient nécessaires et je ne pense pas qu’ils auraient été capables de se lancer eux-mêmes si je ne le leur avais pas lu.»



Il me semble que l’on pourrait dire des choses très similaires de L’enlèvement du prince Oléomargarine. L’histoire est pleine d’imagination, de revirements et de générosité ; les illustrations d’Erin Stead sont somptueuses et d’une sensibilité un peu sauvage ; Johnny nous donne une belle leçon de simplicité, de gentillesse et de résistance face à la tyrannie. Mais le texte est très exigeant pour de jeunes lecteurs : les phrases sont longues, le vocabulaire délicieusement riche, la critique sociale omniprésente et le récit volontiers interrompu par des échanges imaginaires entre Philip Stead et Mark Twain. Le procédé est ingénieux, lorsque l’on est chargé d’une tâche aussi impressionnante que de redonner au corps à un texte d’un monument de la littérature ! En intégrant au récit la conversation qu’il aurait pu avoir avec Twain sur le cours de l’histoire, les scénarios possibles et leur plausibilité, Philip Stead nous associe à ses interrogations et prend une distance ironique vis-à-vis de l’exercice qui n’est pas sans rappeler certains passages des romans de Twain… Cela permet également, en représentant l’écrivain en train d’évoquer l’histoire autour d’une tasse de thé, de restituer l’histoire du prince Oléomargarine en tant que récit oral. C’est très bien trouvé, mais je crains (peut-être à tort !) que de trop jeunes lecteurs soient un peu déroutés face à cette forme de récit. Mais l’écrivain, qui a pensé à tout, semble d’ailleurs avoir anticipé ce questionnement !



« Et tu peux penser qu’une histoire peut être racontée convenablement malgré des interruptions constantes. Mais malheureusement tu aurais tort. Car cette histoire est chaotique. Et même si tu t’attends à ce que Johnny mène ses troupes courageusement dans la bataille…

- Oui !

- Et même si tu t’attends à ce que Johnny, en dépit des probabilité, en sorte victorieux et sans grands dommages…

- Oui !

- Et même si tu t’attends à ce que Johnny porte lui les leçons qu’il a apprises de la guerre pour le restant de sa vie…

- Amène toujours quelque chose à grignoter !

- … Il n’en sera rien. »



Merci beaucoup aux éditions Kaleidoscope (L’école des loisirs) de nous avoir permis de découvrir ce bel album plein de malice et d’optimisme, singulier et déroutant comme une fleur de juju !
Lien : https://ileauxtresors.blog/2..
Commenter  J’apprécie          150
L'enlèvement du Prince Oléomargarine

Lorsqu'un auteur contemporain accepte la lourde tâche de terminer l'histoire inachevée d'un certain Mark Twain, on imagine la pression qui doit être la sienne... Le projet, ambitieux, est ici merveilleusement réalisé. Ainsi Philip Stead parvient à entrer dans l'univers si particulier de l'auteur, au point que son style épouse le sien naturellement. Il s'imagine en conversation avec le mort, négociant la fin de l'histoire et l'adaptant a ses propres critères. Le tout, merveilleusement illustré, donne un ouvrage intemporel, une fable que l'on dévore avec grand plaisir.



Car dans ce pays lointain au nom imprononçable et si éloigné des Etats-Unis (ce qui permet à Mark Twain d'égratigner au passage sa propre nation !) vit un roi de petite taille, qui refuse d'être dépassé par qui que ce soit... Les habitants sont donc contraints de se déplacer courbés, ce qui donne lieu à un défilé pour le moins cocasse. Johnny, quant à lui, vit seul avec son grand-père, un homme rude qui le charge de toutes les corvées. Heureusement le jeune garçon est armé d'une solide boussole morale et possède une poule de compagnie nommée Pestilence et Famine. Lorsque l'aïeul demande à Johnny d'aller vendre la poule pour gagner de quoi manger, notre héros part la mort dans l'âme...
Commenter  J’apprécie          10
L'enlèvement du Prince Oléomargarine

Hymne à la bienveillance, L’Enlèvement du prince Oléomargarine n’enchanterait pas autant sans les illustrations mélancoliques d’Erin Stead, l’épouse de Philip Stead, lauréate de la médaille Caldecott, qui récompense le meilleur illustrateur de livre pour enfants américain, en 2011.
Lien : https://www.lemonde.fr/livre..
Commenter  J’apprécie          00
Lenny et Lucy

Peter déménage. Il est à l’arrière de la voiture, ses parents conduisent et n’ont pas l’air de comprendre ses sentiments. Heureusement qu’il y a Harold, son chien et son fidèle ami. La première nuit qu’ils passent dans leur nouvelle maison, ils n’arrivent pas à dormir : la forêt en face de leur chambre est effrayante, d’autant qu’un pont la relie directement à la maison. Pour apaiser ses angoisses, Peter construit Lenny, un gardien fait de tissus et de coussins, chargé de surveiller le pont. Il est rejoint par Lucy, une autre gardienne qui lui tient compagnie dans sa tâche. Peter et Harold, quant à eux, pourront compter sur l’arrivée de Millie.









Peter déménage. Il est à l’arrière de la voiture, ses parents conduisent et n’ont pas l’air de comprendre ses sentiments. Heureusement qu’il y a Harold, son chien et son fidèle ami. La première nuit qu’ils passent dans leur nouvelle maison, ils n’arrivent pas à dormir : la forêt en face de leur chambre est effrayante, d’autant qu’un pont la relie directement à la maison. Pour apaiser ses angoisses, Peter construit Lenny, un gardien fait de tissus et de coussins, chargé de surveiller le pont. Il est rejoint par Lucy, une autre gardienne qui lui tient compagnie dans sa tâche. Peter et Harold, quant à eux, pourront compter sur l’arrivée de Millie.





Lenny & Lucy et un album idéal pour évoquer le déménagement tout en douceur et montrer comment on peut apprivoiser un endroit et un environnement qui nous fait peur. L’amitié occupe une belle place et Peter est un petit garçon sensible et attentif.



Les dessins sont surtout en noir et blanc, avec quelques touches de couleurs, essentiellement pour les personnages. Erin E. Stead ne crayonne que l’essentiel, mais a une grande force dans son trait, si bien que, couplées au texte, les illustrations rendent à merveille les émotions de Peter tout en étant pleines de retenue.
Lien : https://monrockingchair.word..
Commenter  J’apprécie          40
Lenny et Lucy

Un album très abouti sur le déménagement, un acte d'apparence anodin mais qui figure en haut du palmarès des grands stress de l'existence.
Lien : http://www.ricochet-jeunes.o..
Commenter  J’apprécie          50




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Erin E. Stead (151)Voir plus

Quiz Voir plus

Bilbo le hobbit

Comment s'appelle Bilbo?

Bag
Baggins
Bagins
Bagin

9 questions
1157 lecteurs ont répondu
Thème : Bilbo le Hobbit de J.R.R. TolkienCréer un quiz sur cet auteur

{* *}