« Tu sais, dit-elle à la fin, quand les gens parlent d’un proche décédé, ils disent qu’ils sentent qu’un membre leur a été arraché du corps. Mais c’est exactement le contraire : un membre leur est ajouté. Une glande de tristesse dans la région du diaphragme. Je suis sûre qu’elle existe vraiment, cette glande. Je suis sûre qu’on ne l’a pas encore découverte à la radiographie parce qu’elle se dissimule profondément derrière les côtes. »
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