J'ouvre les yeux. Le réveil a sonné, nouveau son de cloche ; je vous l'avais dit, il faut y retourner, sinon qui va s'occuper des résidents ? Les rues restent désertes un 25 décembre dans le petit matin. Des papiers cadeaux et du bolduc dépassent déjà de quelques poubelles. J'arrive en bâillant et les yeux tout bouffis.