Félix Delep

Une reprise en BD de la ferme des animaux d'Orwell, j'aime ce livre et son auteur. Je suis donc sceptique face à cette adaptation. Eh bien, je crie au chef-d'oeuvre. Le scénario et son découpage est superbe, les dessins sont très réalistes avec une mise en scène cinématographique. J'espère que cette BD aura le succès qu'elle mérite et un prix à Angoulême. Vivement la suite.

J'aime particulièrement l’œuvre de George Orwell. Alors, j'ai tout de suite été attiré par une BD qui fait aussi clairement référence à "La ferme des animaux" et à sa puissance de dénonciation. Dès le prologue, le scénariste Xavier Dorison affirme sa volonté de rester fidèle à Orwell tout en s'inspirant des luttes que celui-ci n'a pas pu connaître : celles de Gandi ou de Mandela. Puis, plus surprenant et intéressant à mes yeux, il évoque Otpor et la stratégie de ces résistants serbes qui passe par la culture et le rire. Et Dorison a raison de citer tous ces noms car son scénario intègre parfaitement et subtilement l'apport de tous ces mouvements : pacifisme, subversion, action culturelle. Dans une ferme des animaux qui est devenue chez lui plus terrifiante encore, un château des animaux où un taureau et des chiens règnent en maîtres, plus contemporaine peut-être, il met en scène des animaux qui tentent de se révolter avec audace, courage et originalité. La série n'en est qu'au tome 1 et leur lutte est loin d'être encore victorieuse mais l'histoire fonctionne. Les personnages sont attachants, surprenants et complexes. Leurs tentatives de rébellion sont à mes yeux de vrais exemples pour les luttes d'aujourd'hui et le symbole qu'ils se sont choisis est de ceux pour lesquels je pourrais m'engager aussi. Sans dévoiler ce détail de l'intrigue, je dirai juste qu'il est organique et solaire. Voilà qui dépeint bien les valeurs à l’œuvre dans cette bande-dessinée. Voilà ce qui me plaît ! Ce n'est ni une adaptation, ni un hommage à Orwell, c'est la même démarche que la sienne comme s'il avait encore été parmi nous aujourd'hui pour la mener à son terme. Et le dessin de Félix Delep est efficace comme il le faut pour rendre toute l'intensité plus qu'humaine de ces animaux en lutte, dans de grandes planches denses et maîtrisées comme je les aime. Vivement les albums suivants !

Le château des animaux est un très bon livre mais si vous êtes sensible ce n'est pas fait pour vous car c'est assez gore.

L'histoire se passe dans une ferme transformée en château .

Il y a une stricte dictature. La protagoniste et d'autres personnages vont tenter une révolte.







ANTHONY

Le Château a été abandonné par les hommes, malheureusement pour les animaux, certains d'entre eux ont décidé de prendre la relève et, avec le taureau Sylvio et ses redoutables chiens sbires à leur tête, fait de leur vie un calvaire.







Un jour un rat raconteur d'histoires fait étape dans ce microcosme et tente de réveiller les consciences. Si l'expérience ne le laisse pas sans séquelles elle a au moins le mérite d'ouvrir les yeux de certains qui vont commencer à organiser la sédition.







On l'a souvent dit chez B.O BD, Xavier Dorison est l'un des scénaristes les plus doués de sa génération, et l'a prouvé dans pas mal de genres. Il s'attaque ici à l'un de ses romans favoris (de son propre aveu) la Ferme des Animaux d'Orwell, dystopie toujours cruellement d'actualité, et propose peut être l'un de ses travaux les plus aboutis.







S'il reprend le principe d'utiliser des animaux comme personnages, il s'éloigne du texte d'origine tout en restant dans la thématique ; sa progression scénaristique, ses protagonistes attachants, ses scènes fortes bien amenées participent à créer une narration sans failles.







Au dessin, pour sa première excursion dans la cour des grands de la BD Franco-Belge, Félix Delep rend une copie à couper le souffle, participant pleinement à l'excellence de ce premier tome.

La suite et un conseil musical par là:
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Bande dessinée écrite par Xavier Dorison qui met en scène l'histoire d'un chat victime de la tyrannie de Silvio dans un château en ruine. Les animaux faibles sont obligés de travailler pour avoir le droit de vivre, ces travaux sont pénibles et éprouvants. Les animaux gagnent très peu de vivres.

Ce livre se présente sous forme de fable, les dessins sont agréables et détaillés.

C'est une histoire qui m'a beaucoup touché car elle met en lumière la révolte des plus faibles contre les plus forts.

Cependant la multiplication des personnages sème parfois de la confusion et le lecteur peine a suivre l'histoire.

Mais au final c'est une lecture agréable et divertissante qui dégage une morale pleine d’espoir car les animaux se révoltent.

Je recommande ce livre pour les amateurs de récits imaginaires sous forme de BD

Je remercie les éditions France Loisirs pour cet envoi de dernière minute. J'ai adoré me révolter aux côtés de ces animaux. Merci de votre confiance !



Notre histoire prend place dans un château, transformé en ferme par ses propriétaires, puis abandonné. Ne restent plus que les animaux, laissés là, entre eux. Lapins, poules, chats, vaches, chiens et autres oies vivent en autarcie entre les murs de l’immense bâtisse. En autarcie, mais pas en liberté. Enfin pas tous. Les chiens sèment la terreur, leurs griffes et leurs crocs suffisent à maintenir la population du château au pas. Leur leader, l’imposant taureau Sylvio, règne en maitre. Sa seule présence insuffle la peur. Sa taille gargantuesque ne souffre aucune comparaison dans le château. Grâce à cela, il s’est tout naturellement proclamé président des lieux dès la disparition des humains.



Je trouve cette fresque criante de vérité et très bien amenée. Comment maintenir sous sa coupe des dizaines de personnes ? Par la peur. Et quoi de plus imposant et intimidant qu’un énorme taureau et une horde de chiens déchainés ? Le lecteur comprend très bien ces petits animaux qui se laissent enchainer. Comment pourrait-il en être autrement ?



Les premières pages m’ont littéralement retournée. D’autant que l’histoire commence fort avec l’exécution de la pauvre Adélaïde, qui n’a commis pour seul crime que d’avoir garder pour elle l’oeuf qu’elle a elle-même pondu. À titre d’exemple, elle est déchiquetée par plusieurs chiens sous les yeux de tous les autres animaux. Imaginez, une pauvre petite poule, attachée à un poteau, le visage tuméfié, face à une meute de chiens tous crocs et griffes dehors. Le rapport de force est bien sûr disproportionné. Mais que faire face à cela ? Cette scène donne immédiatement le ton de l’histoire. Ce n’est pas un conte pour enfants. Ça non.



On se retrouve rapidement à prier pour ces pauvres animaux que l’on prend en sympathie. J’avoue avoir eu beaucoup d’apriori au début de ma lecture. Le sujet ne m’intéressait pas plus que cela, et je n’ai jamais été une grande fan de l’antropomorphie. Mais ce premier tome m’a complètement convaincue.



Premièrement, même s’il s’agit d’animaux, il est tout à fait possible de s’identifier à ces petits êtres malmenés. Deuxièmement, il est intéressant de voir que celle qui va mettre le feu aux poudres est une vieille oie et celle qui va agir dans l’ombre est une jeune chatte, maman de deux chatons. Les deux figures de proue de cette révolution sont deux femelles. Et ça en 2020, je trouve que c’est très bien placé. Aidée de César le Lapin et du Rat, miss Bengalore mène sa petite révolution, en éveillant discrètement les consciences de ses camarades d’infortune. Le Rat est littéralement la voix de la sagesse. Cela fait un peu cliché, mais c’est rapidement pardonné car il représente le petit grain de sable qui vient gâcher le plat du président. J’ai adoré son intervention dans la grange, et son discours sur la vérité. Il a une manière imagée de présenter les choses qui est très intéressante et très percutante. C’est un personnage très intéressant.



C’est d’ailleurs là, l’une des forces supplémentaires de cette histoire. Les personnages sont extrêmement convaincants. Chacun exploite des traits caractéristiques de l’animal qu’ils sont, mais en parallèle, ils représentent également chacun une personnalité littéraire distincte. Le Rat est un vieux sage, miss B. est une chatte préoccupée par sa famille, Marguerite est une vieille oie qui n’a plus rien à perdre, plus de famille ni de bien, Ruck est le personnage secondaire toujours là en cas de besoin, et César est le meilleur ami que tout le monde voudrait avoir. Ces figures sont stéréotypées, mais malgré cela, cette histoire fonctionne vraiment car elle prend le lecteur par les sentiments.





En conclusion



Ce premier tome est une réussite. Les illustrations sont criantes de vérité et parlent parfois plus que les mots. Les émotions sont fortes, on passe sans transition par de l’indignation, de la peur, de la révolte, un sentiment d’injustice, puis par de l’espoir, et enfin une sensation de satisfaction et de détermination. Je ne peux que vous conseiller cette bande dessinée. Moi en tout cas, j’ai hâte de lire le deuxième tome !
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Une parodie de la Ferme des animaux ? Non, cette bande dessinée est loin de ressembler à une pâle copie du roman de Georges Orwell ! Certes s'il est bien question d'une république animalière qui cache en réalité une terrible dictature, l'idée de Xavier Dorison est de creuser une autre piste, à savoir, la résistance pacifique... par le rire ! Un scénario dense et très prenant qui nous fait vivre au plus près du quotidien des personnages, conférant un aspect complémentaire au roman de Georges Orwell. Ici, il est aussi question d'individualisme au sein de la communauté, chaque animal à sa propre entité et surtout un foyer à s'occuper, comme la chatte Miss Bengladore, à qui le premier tome est consacré.



Le dessin ainsi que la colorisation sont absolument sublimes et s'accordent parfaitement avec le récit ! le trait de crayon totalement immersif offre de très belles planches, tout en conservant un certain réalisme. J'apprécie également le parti pris de Félix Delep de ne pas représenter les personnages comme des humains mais bien comme des animaux, ils ne sont pas habillés et se déplacent (pour le moment) toujours à quatre pattes ;)



L'intrigue étant assez longue à se mettre en place et la résistance arrivant relativement tard dans le récit, j'ai vraiment hâte de connaitre la suite dans les trois prochains tomes. Une saga familière addictive à ne pas manquer !



// Dans le cadre du prix de la BD Fnac - France Inter 2020

La Ferme des animaux, l'un des nombreux chef d'œuvre de George Orwell constitue l'essence de cette superbe bande dessinée.

Le château des animaux est isolé, cerné de toute part par un épaisse forêt. Les animaux de ferme y survivent sous l'implacable dictature du président Silvio et de sa cruelle Milice canine. Miss Bengalore, courageuse veuve élevant ses deux chatons se tue à la tache et subit chaque jour de profonde injustices.

Elle sera la première à ouvrir les yeux, la première à se rebeller : La résistance est en marche !

Revisitant tant Orwell (« La Ferme des animaux », 1945) que l’esprit caustique de la fable animalière, ce premier chapitre d’une tétralogie fait mouche avec un graphisme de toute beauté et son invitation à réfléchir sur l’évolution politique de nos sociétés actuelles.
Lien : http://bdzoom.com/146143/lar..

Le Château des animaux est une BD de Xavier Dorison. C'est l'histoire d'une ferme abandonnée et habitée par des animaux. L'histoire se déroule en France durant l'entre-deux-guerres. le châteaux est dirigé par un énorme taureau , un dictateur, le président Silvio, et par sa milice de chiens. Mais l'arrivée d'un nouvel animal à la ferme vas perturber la vie des habitants du château et va déclencher une révolte. Ce livre fait réfléchir sur le fonctionnement de la société. J'ai eu du mal à me projeter dans ce livre car il y avait un mélange d'animaux et d'humains. Xavier Dorison est un descendant de la Fontaines, il utilise les animaux pour critiquer la société.

Enola. 3A



C’est l’histoire d’un chat, Miss Bangalore dans une ferme où gouverne un taureau, Silvio qui impose une dictature. Un spectacle va avoir lieu, donné par une souris nommée Azélar-vieux-gris. Cela va donner l’idée à Miss Bangalore de se révolter et de faire couler ce régime autoritaire. Cela marchera-t-il ? À vous de lire le livre et de découvrir la suite.

Ce livre m’a plu parce que cela m’a fait revoir les caractéristiques d’une dictature et cela m’a rappelé la révolution de 1789. Ce livre fait beaucoup de lien avec l’histoire de la France. J’ai aussi beaucoup aimé l’effet surréaliste car cette histoire se passe avec des animaux de la ferme. Je donnerai 5/5 comme note à ce livre.

Je recommande ce livre pour ceux qui aiment les histoires vraies, qui cherchent des livres facile à lire et qui sont en relation avec l’histoire.

« Avaient fait taire la peur et naître l’espoir » page 71

Paco. 3A

Les animaux ont érigé leur république et elle fonctionne. Les animaux produisent pour la société et ça fonctionne. Les chefs sont contents et les autres n’ont pas l’énergie de se plaindre et ça fonctionne... jusqu’à ce que cela déborde. Quand la république tant vantée, tant souhaitée, juste pour tous, se transforme en oligarchie, c’est le début de la fin. Quelle fin? On le saura dans les autres tomes.

Désobéissance civile contre force brute, les luttes humaines transposées aux animaux sont magnifiées par un dessin précis et dynamique qui nous emporte tout au long de l’album.

Vive le temps des marguerites!

Cette BD parle d’un château qui est devenu une république qui a plongé dans un régime totalitaire.Il y a des personnages qui en ont assez d’être des esclaves, et de la hausse de la productivité. Ils veulent se révolter mais sont soit exécutés soit massacrés par des chiens nommé 1,2,3 et 4.

L’héroïne Mrs B est un personnage important qui permet au lecteur de rester accroché dans l’histoire. Certain passage passages violents. Je le déconseille aux personnes qui on peur des « carnages » ou qui adores les animaux de la ferme.

Le graphisme est travaillé, précis ce qui décrit bien les détails des animaux jusqu’aux mauvaises herbes entre les pavés.

Cette BD n’ a pas retenu mon attention.

Les hommes sont partis. Dans le château, il ne reste

plus que les animaux: poule, chèvres, ânes et mouton s'épuisent

à la tâche pour le prestige du président Silvio et sa cruelle

milice de chiens. La dictature et la terreur règnent... A moins que certain animaux ne décident d'entrer en résistance.

Les dessins sont très bien faits, les visages sont expressifs et l'histoire est intéressante. Dorison nous a montré ce qu'est la dictature d'une manière différente, elle l'a interprété dans les animaux. Elle nous montre que même les choses les plus graves peuvent être résolues avec un peu d'humour.

Une de mes citations préférées a été : Rire, c'est déjà ne plus subir.

Je recommande ce livre à toutes les personnes, il est plein de suspense et d'intrigue avec de l'humour.





Cette bande dessinée parle du château des animaux, qui est en fait, une ferme oubliée par les hommes. Ce château des animaux est dirigé par le président Silvio, un taureau dictateur qui exploite les autres animaux qui vivent dans le château en les faisant travailler pour le bien de la communauté.

Les personnages principaux sont Miss Bengalore, une chatte qui ne cherche qu’à protéger ses deux petits, et César, un lapin. Tous les deux vont s’allier à un rat, appelé Azélar, pour lutter contre l’injustice qui existe au château des animaux.



J’ai beaucoup aimé cette bande dessinée car le fait qu’un chat, un lapin et un rat luttent contre un taureau d’une manière originale et créative pour rendre la justice au château des animaux, m’a beaucoup entretenue. Ça m’a aussi plu car c’est un livre facile à comprendre, avec un niveau de langue familier et qui ne prend pas beaucoup de temps à lire.



En conclusion, cette bande dessinée m’a beaucoup plu pourtant je la recommande car elle est facile et rapide à lire et le sujet est très intéressant.

C'est l'histoire de miss Bengalore, une chatte, vivant dans la ferme des animaux. C'est une ferme abandonnée par les hommes mais il y a encore des animaux...



"Le Château des animaux" est une BD vraiment captivante. Le fait de suivre les animaux dans leurs vies et dans leurs difficultés est plutôt intéressant, c'est assez amusant de voir les animaux, qui ont comme une vie "humaine". Je l'ai lu vraiment vite car j'étais entièrement plongée dans le livre, je n'ai donc pas voulu le lâcher.

La tyrannie, simple histoire d’hommes ? Dans un château n’accueillant aucun humain durant l’entre-deux guerres, Le château des animaux, le président Silvio et ses gardes ont pris le contrôle des bêtes. Celles-ci décident de se rebeller et de faire tomber le tyran. Cette bande-dessinée de Félix Delep et Xavier Dorison reste très drôle, même si elle parle de sujets de société graves comme la dictature.

Marius

Partie récupérer une commande chez mon libraire préféré, je suis tombée sur le tome 3 de cette série que j’ai trouvée extrêmement alléchante, la couverture en étant très belle. J’ai donc recherché le tome 1 et, convaincue par mon libraire, je l’ai acheté. Me voici lecture faite, totalement conquise par le dessin, le scénario, les personnages, et ce tome terminé , une grande envie de lire le tome 2 que je devrai aller chercher demain. Je n’ai pas lu « la ferme des animaux » alors évidemment le suspens est à son comble… en tout cas c’est une vraie réussite…

La seule critique que je pourrais émettre bien que j'ai mis 5 à ce livre, serait qu'il n'y a rien de nouveau. Mais si ce thème n'est pas nouveau il est toujours d'actualité et cela semble primordial de le faire renaître. Et quelle renaissance ! Les dessins sont superbes ( gros cœur sur Miss Bengalore) et les personnages sont attachants. Je suis pressée de lire la suite et de les voir se révolter !

C'est l'histoire d'une ferme oubliée par les Hommes et dirigée par un taureau nommé Silvio et une milice de sept chiens, pendant l'entre deux guerres. Ils exploitent les autres animaux, en leur faisant faire des travaux forcés et ils leur donnent peu à manger.

Mais une chatte nommé Miss Bengalore et un rat veulent renverser cette dictature horrible.

C'est une histoire qui m'a plutôt plu car j'aime beaucoup le fait que ce soit en BD et que l'on humanise autant des animaux.

Viktor



Une ferme oubliée par les Hommes et dirigée par un taureau, pendant l'entre deux guerres. le président secondé par une milice de sept chiens exploite les autres animaux, dont une chatte qui va être le personnage principal.

Cette BD contient trois tomes et est une adaptation du roman de George Orwell se nommant La ferme des animaux.

C'est une histoire qui m'a plutôt plu, elle est prenante, plutôt glauque et elle retrace l'histoire de la deuxième guerre mondiale et la Résistance, avec des dessins très bien faits. Mais j'ai trouvé que la fin était peut-être trop douce par rapport au début très sanglant, suite au début des insurrections.

Luigi



Dans un endroit inconnu en France une ferme abandonnée par les Hommes, les animaux ont pris leur place. A leur tête, le président Silvio un taureau sans pitié et dictateur effraie la population. Il a comme une garde rapprochée qui sont des chiens sans pitié et sanguinaires. Chaque fois qu'un animal ne fait pas son travail ou n'obéit pas, il est attaché à un poteau appelé le Poteau de justice dans un trou où cet animal se fera manger sans pitié par les chiens. Le personnage principal s'appelle miss B c'est une chatte qui a deux petits, elle travaille donc ils attendent toute la journée leur mère.

J'ai très bien aimé ce livre car l'auteur humanise les animaux comme dans les fables de la Fontaine, mais l'histoire est très triste.



Clotaire

C'est la guerre,les chiens de combat dominent le village. Les autres animaux (chèvre,poule ...) sont des esclaves mais une chatte est décidée à enlever ses droits.



Elle décide de se rebeller en disant à tous les autres animaux de venir avec elle pour combattre les chiens. Tous les animaux sont d'accord, mais après une longue journée de bataille les chiens gagnent.

La chatte a réussi à s'échapper mais après quelques jours un énorme animal arrive : c'est un TAUREAU.



Le taureau a des gardes du corps, des chiens gros chiens de combats, mais d'autres chiens du village les surprennent en les attachant.



Les gardes ont perdu, par contre le taureau est toujours en vie mais les villageois prennent le pouvoir et enferme le taureau, ils partent du village pour en reconstruire un.



J'ai bien aimé ce livre car il y avait plein de suspens mais il y a des morts qui m'ont rendu triste mais l'histoire se finit bien heureusement.



Mathis B.