La possession d’un corps gracieux ne peux étreindre la beauté, elle n’étreint qu’une chair cellulaire et grasse ; le baiser ne touche pas la beauté d’une bouche, mais la chair humide de lèvres aux muqueuses périssables ; le coït même est un simple contact, un frottement rapproché, mais non pas une pénétration réelle, pas même d’un corps par un autre corps. Que possédons-nous alors, oui, que possédons-nous ?