Je ne distingue pas, fondamentalement, un homme d'un arbre ; et, sans aucun doute, ma préférence va à celui des deux qui produit le meilleur effet décoratif, et qui intéresse davantage mes yeux pensants. Si c'est le cas de l'arbre, alors je souffre davantage de voir couper l'arbre que de voir l'homme mourir. Il est des départs de soleil couchant plus douloureux pour moi que la mort d'un enfant.
Texte n° 161.