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Critiques de France-Marie Watkins (36)
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Trois minutes avant minuit

Paru en 1971, ce petit roman de 214 pages, pourrait aussi bien se dérouler deux décennies avant.



Et si l'on fait l'effort de passer les premières pages ( un peu confuses) , et si l'on fait l'effort de retenir tous les prénoms de cette famille et ceux de leurs voisins ou amis, alors on se laissera prendre au charme. Beaucoup d'humour dans les échanges verbaux des quatre soeurs, et beaucoup de mystère, de "nébulosité" dans l'état du père de famille, hospitalisé dans une maison de repos, après le terrible accident qui a coûté la vie à son épouse dans une fête foraine. Depuis, le pauvre homme bataille, essayant de rassembler ses souvenirs, qui sitôt surgis , s'évaporent pendant que le personnel maltraite "gentiment" les pensionnaires.



Et pendant ce temps- là, Blair, la fille aînée bataille aussi, car elle est chargée de faire tourner la maison, de veiller sur ses trois soeurs, aidée par des voisines bienveillantes. Mais dans cette famille bourgeoise, on ne s'appesantit pas sur ses malheurs, on avance, les filles se disputent, des garçons rôdent autour des aînées , et tout ce petit monde bouillonne d'énergie, rentre dans la maison, comme dans un moulin ( les "méchants" aussi.)



Le danger est tout autour, et tout l'intérêt du roman, réside dans cette dichotomie, cette vie que les filles s'attachent à mener, faite de plaisirs simples, de rigolades, et la menace qui pèse sur le père qui a vu et compris quelque chose, sur Blair qui comprend que ce qui est arrivé à ses parents n'étaient pas un accident. L'amnésie, l'état d'extrême confusion du père est très bien rendu, très bien écrit.



D'ailleurs , c'est ce qui fait le sel de ce roman, la grande qualité d'écriture, le ton...



Jeunesse , vulnérabilité, innocence, contre organisation d' extrême droite.



C'est charmant, peut- être irréaliste ...mais Mildred Davis avec l'humour, sait faire passer la pilule.



Une curiosité.policière qui ne ressemble à aucune autre..
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Le jour le plus long

Ce récit est très documenté, les sources d’information proviennent de survivants alliés et allemands. Cette recherche prit trois ans à Corneluis Ryance qui réalisa 700 interviews, les personnages apparaissant étant les principaux témoins.

La narration est rendue très vivante par diverses anecdotes qui allègent les faits de guerre proprement dits. Ainsi, M. Dawe a dû expliquer aux services secrets comment un certain nombre de mots de code hautement confidentiels dont "overlord" sont apparus dans ses mots croisés créés pour le Télégraph ; John Steele fit le mort pendant deux heures accroché par son parachute drapé sur le clocher de l'église de Sainte-Mère-l'Eglise.



Bref, ce livre allie le sérieux de la documentation des deux côtés de la bataille et le caractère vivant des événements. Il n'est pas ennuyeux malgré le souci d’expliquer de manière exhaustive l'opération et le matériel engagés.



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Le jour le plus long

Voici le livre à partir duquel le fameux film " le jour le plus long" a été réaliser. Cornelius Ryan aura collecté sept cent témoignages sur une durée de trois ans pour l'écrire.

Il raconte les journées du 5 et du 6 juin 1944, ces drames, ces actes d'héroïsme de simples soldats, ces journées qui ont marqué à jamais notre mémoire collective.

L'intérêt de cet ouvrage est que l'auteur nous place alternativement du côté alliés puis du côté allemand. Il décrit avec minutie mais sans lourdeurs ce qu'a été le débarquement des troupes alliées.

Il est difficile de ne pas "glisser" dans l'émotionnel lorsqu'on évoque ces heures. J'ai essayé dans cette brève chronique de rester "sobre". Mais je ne peux m'empêcher de me souvenir que des années plus tard, sur ces mêmes plages, un enfant construisait innocemment des châteaux de sables. Il était libre, et vivait dans un pays libre...encore merci à eux.
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Le jour le plus long

"Le Jour le plus Long" est un des meilleurs films de guerre de l'histoire du cinéma (avis personnel). Cela est dû en grande partie au fait que le roman de Cornelius Ryan, qui servit de base au film, est lui aussi excellent. On doit aussi à l'auteur "Un Pont trop Loin", également adapté au cinéma.



Cornelius Ryan est journaliste de formation. Il mît sa passion de la seconde guerre mondiale, et son savoir faire de journaliste, au service de ce roman. Il réalisa, en effet, plus de 700 interviews lors des travaux préparatoires (qui durèrent 9 ans !). C'est à partir de la vérité des acteurs de ce jour historique que l'auteur composa la trame de son récit (il paraît en 1959, il eut donc accès à nombre de témoins directs).



C'est tout à la fois la grande et les petites Histoire(s) que Ryan nous donne à voir, et d'ailleurs aussi bien du côté des alliés, que du côté allemand. Pour lui ce sont bien la somme de ces expériences individuelles et collectives qui façonne l'Histoire. Les nombreuses anecdotes véridiques qui parsèment le récit sont souvent des hommages à des personnes qui seraient peut-être restées anonymes sinon.



Il n'y a ni fascination de la violence ou des combats, ni dimension politique dans ce récit...juste une admiration sincère pour des hommes qui s'engagèrent dans un événements plus grand qu'eux, parfois à leur corps défendant, souvent au prix de leur vie ou de leur intégrité physique.
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Thelma

Il semble que Thelma ne soit pas très connue du grand public, j'ai un peu la pression, là, je suis la première à en parler sur le site!

Comment j'ai rencontré Thelma? En la découvrant, oubliée sur une étagère, dans un appartement à vider...

La couverture est assez glauque, je trouve. Quant au résumé de la quatrième de couverture, il est assez attirant, bien que trompeur.

Thelma, une petite fille innocente qui s'ennuie? NON! Une vraie psychopathe! Totalement dénuée de sentiment, cette fillette de 9ans est en vacances en Vendée avec son grand frère et sa maman. Elle a perdu son papa.

Pour la fête de ses 9ans, un voisin lui offre un appareil photos...Quelle mauvaise idée...Dès lors, Thelma va s'amuser à le surveiller, à le photographier dans des moments intimes, à le faire chanter...

En véritable criminelle, elle va accomplir des actes barbares, car que fait quelqu'un comme elle qui vole un révolver? Allez, devinez...

Ce roman m'a vraiment mise mal à l'aise. Le personnage de Thelma est effrayant, et d'autant plus parce qu'elle est une petite fille et que donc personne ne voit ce qu'elle est vraiment, sauf son frère...

La fin m'a laissée abasourdie, j'ai eu envie de crier! J'aurais voulu une suite pour savoir ce que devient ce personnage diabolique, manipulateur et fascinant en même temps...

Par ailleurs, j'ai aimé me glisser hors des sentiers battus en me plongeant dans cette lecture inattendue. On n'est jamais à l'abri d'une bonne surprise!

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Le jour le plus long

Cornélius Ryan nous offre une chronique minutieuse du débarquement de Normandie dont la version cinématographique est plus connue que le roman, puisque diffusée chaque année au début du mois de juin.

On suit chaque instant de cette immense opération militaire, survenue il y a presque 70 ans, qui a initié la libération de l'Europe.

Une visite du cimetière de Colleville-sur-Mer (Omaha beach) et des cimetières alliés ou allemands nous rappelle aussi le prix humain de cette libération.
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Les désirs de Béatrice

Béatrice et sa soeur sont issues de la bonne société.au les châtiments corporel

sont monnaie courante .sa mère est très

attachée aux apparences.un revers de fortune va les mettre dans l,embarras.

seul un bon mariage pour Béatrice peut sauver du déshonneur sa famille en faillite

mais pour fuir l,e.ennui du morne lit conjugal,elle va revenir vers sa famille

pour sentir les lanières du martinet sur sa

peau.excellent et méchant.👍
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Le jour le plus long

Le jour J comme si on y était. Cornélius Ryan nous fait revivre le jour du débarquement heures après heures depuis le parachutage des troupes jusqu'au débarquement sur les plages de Normandie. On a vraiment l'impression d'être avec les soldats au milieu de la tourmente.
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Le jour le plus long

Le débarquement allié du 6 juin 1944 en Normandie, comme si vous y étiez. Pendant neuf ans, Cornelius Ryan a recueilli plus de mille témoignages, allemands, américains, anglais, français, pour raconter l'histoire du Jour J. Ou plutôt pour illustrer la grande Histoire par des petites histoires qui, ajoutées et coordonnées les unes aux autres, constituent une sorte de puzzle très complet. Toutes les anecdotes et tous les faits relatés donnent en effet du Jour J une vision d'ensemble et détaillée à la fois : ainsi, au sérieux de la documentation, se joint le caractère vivant du récit. L'ensemble se lit donc comme un roman, avec un intérêt soutenu, même si chacun connaît la fin de l'histoire, avant de l'avoir lue. On apprend que les critères de choix du Jour J étaient un clair de lune tardif, pour permettre aux dix-huit mille hommes de l'infanterie parachutiste d'atterrir par nuit noire, et une marée basse peu après l'aube, pour que les obstacles construits par les Allemands soient visibles (page 58). On découvre qu'il y avait vingt-et-un convois vers les plages "américaines" d'Utah et d'Omaha, et trente-huit vers celles, "anglo-canadiennes", de Gold, Juno et Sword, représentant cinq mille navires, appuyés par neuf mille avions (page 178).

Trois parties composent l'ouvrage : l'attente, la nuit, la journée. Au fil de ces vingt-quatre heures, des anecdotes font vivre chaque moment avec réalisme et intensité. La plupart des personnages sont cités à plusieurs reprises. Dans cette galerie de portraits, des personnages majeurs et connus côtoient d'humbles soldats, qui ne sont pas passés à la postérité : on passe ainsi d'Eisenhower, Commandant en chef des Armées alliées, à qui revenait l'ordre de déclencher l'Opération Overlord, au Major Werner Puskat, qui, le premier, découvrit, de son bunker dominant la plage d'Omaha Beach, l'incroyable spectacle de l'armada du Débarquement ; le livre s'ouvre et se referme par ailleurs sur le feld-maréchal Erwin Rommel, qui avait déclaré que le premier jour de l'invasion serait le jour le plus long...

Un film du même nom est tiré du livre. Une fois le livre lu, il faut donc voir le film. Et surtout, se rendre sur place et visiter l'un des nombreux cimetières militaires. A Colleville, juste au-dessus de la plage d'Omaha la sanglante, où 2.500 soldats américains moururent le 6 juin 1944, les tombes qui s'étendent presque à perte de vue, nous invitent à rendre hommage à ces héros de la Liberté.
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Histoires pour rire et pour pleurer

"Chic, me direz-vous, un recueil de nouvelles ! et un recueil de trente nouvelles en plus. C'est assez rare pour le souligner car d'habitude on doit se contenter de six ou sept histoires." Je vous répondrai que vous avez tout à fait raison, que le plaisir est donc multiplié par 5 ou 4.28 (j'ai raté un bac scientifique mais quand même !) Et pourtant, ces trente nouvelles noires ne sont qu'une goutte d'eau dans l'océan qu'est l'oeuvre de Bill Pronzini où il y a encore tant de choses à découvrir (et à traduire pour ceux qui comme moi ne maîtrisent pas suffisamment la langue de Chandler ou de Goodis). Créateur au début des années 70 du détective Nameless, empruntant à Dashiell Hammett l'idée du privé anonyme et faisant de ce personnage le héros de 41 romans et de 4 recueils de nouvelles, Pronzini est aussi l'auteur d'une cinquantaine d'autres romans, d'une dizaine d'autres recueils de nouvelles et de plus de trois cents nouvelles isolées qui lui ont valu de nombreux prix et des nominations, notamment pour les Edgar, encore plus nombreuses. Avec ces "Histoires pour rire et pour pleurer", Bill Pronzini nous montre toute l'étendue de son talent. Il nous entraîne dans son univers noir dans lequel l'humour de même couleur tient une place importante et où la morale est parfois sauve. En quelques pages, il plante le décor, qu'il s'agisse du hall baroque d'un hôtel new-yorkais, de la véranda d'une petite maison de bois en été, d'un guichet de banque, d'un salon de coiffure, d'une station service, d'un bar de quartier populaire ou d'une cantina mexicaine, d'un parc au clair de lune, du rayon bijouterie d'un grand magasin, d'un chalet de montagne isolé, d'une paisible pension de famille américaine ou d'un majestueux mais défraichi hôtel perdu dans la campagne anglaise, d'un coin de désert aride ou d'une ferme jouxtant un vert pâturage (mais sans raton laveur), il dépeint avec soin des personnages ordinaires et nous tient en haleine avec une histoire dans laquelle le crime et la mort rôdent inlassablement.



A déguster d'un trait comme une téquila (dans la cantina mexicaine naturellement) ou par petites gorgées comme un très vieux single malt (dans un fauteuil club de l'hôtel anglais évidemment).
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Le jour le plus long

"Le jour le plus long", dans la mémoire collective, c'est d'abord un film de 1962, un des plus coûteux de tous les temps, ayant mobilisé des dizaines d'acteurs de premier plan américains, anglais, allemands, canadiens et français, des centaines de figurants, des décors, des effets spéciaux, des reconstitutions de bataille comme on en n'avait jamais vu auparavant. Le film retrace de façon chronologique toutes les phases du débarquement depuis la préparation la veille (5 juin 1944) jusqu'au soir du jour J (6 juin 1944). Le scénario du film est directement inspiré d'un livre de Cornélius Ryan, paru en 1959, intitulé également "Le jour le plus long". Ce titre viendrait d'une citation du feld-maréchal Rommel à son aide de camp, trois mois avant le débarquement : " Croyez-moi, Lang, les premières vingt-quatre heures de l'invasion seront décisives... Pour les Alliés, comme pour l'Allemagne, ce sera le jour le plus long."

Cornelius Ryan (1920-1974) est un journaliste irlando-américain. Le travail de recherche qu'il a effectué est donc un travail d'investigation journalistique, et non pas un travail d'historien, cette remarque est importante, car elle peut expliquer quelques approximations, voire quelques entorses à la vérité historique, qui n'entament en rien le sérieux de l'entreprise, ni l'honnêteté du projet. Cette enquête, pendant neuf ans, lui fera sillonner l'Europe, questionner une cinquantaine de correspondants de guerre et plus d'un millier de survivants du jour J. Pour ce faire, il bénéficiera de l'aide (intéressée) du Reader's Digest, contre une exclusivité de publication (c'est de bonne guerre, si je peux dire).

De cette masse énorme de documentation, Cornelius Ryan tire un ouvrage stupéfiant de vie et de réalisme. Il n'a pas besoin de rajouter du pathétique aux témoignages édifiants qu'il recueille, tous camps confondus. Le découpage chronologique qu'il adopte, enchaînant une série ininterrompue de "tranches de vie", est déjà cinématographique, les scénaristes d'Hollywood auront à fignoler le détail, mais le canevas du film est déjà tout trouvé.

Le fait que Ryan soit journaliste et non pas historien lui permet d'avoir une approche "au plus près" des participants (civils et militaires), et de nous faire partager leur émotion. Le livre d'ailleurs donne une place prépondérante aux sentiments des combattants, la peur, le sang, les blessures et la mort, la camaraderie... ce que le film, dans sa dimension épique et, c'est le cas de le dire, hollywoodienne, n'a pas voulu montrer de façon aussi réaliste.

Dans la somme de témoignages et d'études sur la Seconde Guerre Mondiale, "Le jour le plus long" fait partie des incontournables. Son succès n'a jamais été mis en cause et le livre est constamment réédité.

Signalons que l'auteur a écrit deux autres monuments sur le même modèle : "La dernière bataille : la chute de Berlin" (1966) qui relate les derniers jours de la capitale du Reich en mai 1945, et "Un pont trop loin" (1974) sur l'opération Market Garden aux Pays-Bas (région d'Arnhem), à l'automne 1944.

A mettre en bonne place dans votre bibliothèque si vous êtes amateur (amatrice) d'Histoire, et plus encore de celle de la Seconde Guerre Mondiale.

Et même si vous n'êtes pas ce type de lecteur, vous trouverez je pense, j’espère, je suis sûr, un intérêt certain à lire ce livre, ne serait-ce que pour le côté humain qu'il développe...

Enfin les plus férus en Histoire, les plus ferrés sur le reportage journalistique se réfèreront sans faire de manières vers ces autres auteurs qui appliquent une méthode similaire : Dominique Lapierre et Larry Collins (« Paris brûle-t-il », sur la libération de Paris, « Ou tu porteras mon deuil » sur la vie d’El Cordobès et la Guerre d’Espagne, « O Jérusalem » sur la naissance d’Israël, et « Cette nuit la liberté » sur Gandhi et la naissance de l’Inde moderne.) Plus deux chefs-d’œuvre individuels : pour le premier « La cité de la joie », un reportage bouleversant sur les bidonvilles de Calcutta, pour le second « Fortitude », un roman sur fond historique, (le leurre concernant l’endroit exact du débarquement), à lire, pourquoi pas, en complément du « Jour le plus long » …

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Le jour le plus long

Très bel ouvrage de Cornelius Ryan, l'histoire d'un jour à lire en un jour... L'écriture est très bonne, on se laisse porter par les différentes histoires qui ont fait partis de l'HIstoire durant ce "jour le plus long". Très riche en informations, ce livre n'est jamais étouffant. J'aime la simplicité de la rédaction, la rapidité de lecture et les pointes d'humour qui nous font rigoler tout seul dans notre fauteuil... Cornelius Ryan dit avoir réunis 383 récits pour le Jour J et on se rend compte du travail qu'il a fallu pour avoir tous ces détails. A lire et à relire...
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Le concours du millénaire : Apportez-moi la t..

C'est plutôt drôle dans l'ensemble. Il est amusant de croiser des artistes de la Renaissance, des Dieux anciens, une Sorcière qui devient une apprentie ange et toute une floppée de personnages complétement barrés ....

Mais en lisant cette trilogie d'une traite ça devient un peu ennuyeux, les romans sont plus ou moins construits sur le même modèle, et à force nous n'avons plus de surprises.

Cependant, il y a quelques réflexions sur la Nécessité de la cohabitation entre le Bien et le Mal qui sont assez intéressantes.



Un bon divertissement entre 2 lectures plus sérieuses.


Lien : http://le-club-des-incorrigi..
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Le jour le plus long

Un souvenir de jeunesse (Pas l’événement... le livre ! M'enfin quand même, qu'allez-vous penser !)

Passionnant, très bien raconté, vécu.

Je n'ai plus le détail de ce qu j'avais lu, mais un souvenir très positif. Donc, je conseille.
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Le concours du millénaire : Apportez-moi la t..

Fan de Zelazny (Le cycle des princes d'Ambre...), j'ai été enthousiasmé par l'univers décrit dans cette trilogie, où sont revisités contes, mythes et légendes mélangés pêle-mêle. On y suit les aventures d'un démon, chose plutôt rare pour être relevée, manigançant des plans aussi tordus que machiavéliques afin de se faire reconnaître par ses collègues du bien et du mal.



À mon goût, loin d'arriver au niveau du Cycle des princes d'Ambre ou de Le Songe d'une nuit d'octobre, le premier volume de cette trilogie (Apportez-moi la tête du Prince charmant) est aussi bon que d'autres oeuvres incontournables de la bibliographie de Zelazny : L'enfant de nulle part (L'enfant tombé de nulle part + Franc-sorcier), Lord démon, Repères sur la route ou Le maître des ombres.



J'ai été moins conquis par le second volume (À Faust, Faust et demi), qui s'écarte du concept initial et avec beaucoup d'élément finalement inutiles, mais qui compense par un univers beaucoup plus riche. Le troisième volume (Le démon de la farce) commence sur une bonne idée, mais laisse malheureusement un léger goût d'inachevé. Quel dommage, car il y aurait encore tant d'histoires à imaginer dans cet univers.



J'ai globalement passé un bon moment à suivre les aventures du démon Azzie Elbub. C'est une belle collaboration, je regrette seulement de ne pas pouvoir discerner ce qui est écrit par Zelazny et ce qui est écrit par Sheckley.
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Le concours du millénaire : Apportez-moi la t..

C’est terriblement drôle, inattendu, délicieux…et totalement impossible à résumer ou à expliquer. Comment parler de façon construite de Prince Charmant à la Frankenstein, de contes de fées revus et corrigés à la sauce déjantée et d'éclats de rire pour le lecteur?



A découvrir avec bonheur !
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Le jour le plus long

Roman phare du débarquement du 6 juin 1944....
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Dangereuses visions, tome 2

Cette anthologie est le deuxième opus, il vient à la suite du succès d'un premier tome d'une qualité rare.

Dans ce second tome Ellison a pour compagnons Poul Anderson, Damon Knight, Théodore Sturgeon, JG Ballard et bien d'autres grands noms de la SF contemporaine.

Ce recueil contient 21 nouvelles passionnantes et confirme l'engouement provoqué par le premier tome.
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Dangereuses visions, tome 2

Le deuxième tome de l'anthologie de nouvelles de Harlan Ellison, et d'autres auteurs, un des plus provocants auteurs de science-fiction.



Plusieurs auteurs cherchaient à l'époque à révolutionner le genre de la science-fiction. Vous allez découvrir ou serez surpris par les textes de Damon Knight, J. G. Ballard, John Brunner, Keith Laumer, Samuel Delany, etc. Des nouvelles souvent dérangeantes.



Pour ma part, j'ai bien aimé ce tome ci aussi.
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La Tour de Babel

Un roman magistral qui mêle, avec talent, intrigues politiques et religieuses.

Si l'on ne se décourage pas dans les premiers chapitres, cette œuvre permet de découvrir un auteur à la plume riche, ouverte sur le monde, et soigneuse dans la description des lieux, des paysages et des personnages qui y gravitent.

A lire absolument, pour se rendre compte des tensions existantes dans les années 60 entre les Pays Arabes et l’État d'Israël. Tensions toujours d'actualité...
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