Nous sommes très nombreux aujourd’hui, et pas seulement en Occident, à qualifier François de « grand saint », au risque de l’enfermer dans une image certes glorieuse, mais un temps soit peu convenue. Pour ma part, dès que j’ai appris à le mieux connaître, je l’ai intuitivement appelé « le Grand Vivant ». Je crois que cette appellation dépeint plus justement ce qui constitue sa singularité.