Ce n'est plus le missionnaire ni même le religieux qui parle, c'est l'homme conscient de l'étendue d'un patrimoine culturel - notamment linguistique - qu'il tremble de voir disparaître avant qu'on ait pu le recueillir.
Non seulement [le travail de Foucauld] a parfaitement rendu caducs tous ceux qui l'ont précédé sur le même parler, mais jamais pour aucun parler berbère, pareil effort n'a été fait.