François Walter

Un joli petit album qui plaira aux enfants très jeunes et les familiarisera avec les créatures de la nuit d'Halloween.

De l'amitié, un peu de courage pour affronter les peurs et la nuit apportera son lot de surprises et de frissons.

Un livre basique et coloré pour les deux à quatre ans qui séduira sans vraiment effrayer.

Cet essai consiste en une critique approfondie, nombreux documents à l'appui (souvent en langue allemande, car l'auteur est suisse) de l'appréhension des catastrophes à travers les siècles, dans le monde entier.

Il est fait référence en particulier à l'influence des religions, jusqu'à nos jours, à la différence entre les notions de risque (en lien parfois avec les assurances) et de danger (plus concret).

Je soupçonne par ailleurs l'auteur d'être un tant soit peu climato-sceptique.

Ce livre n'a pas réussi à m'intéresser complètement.

De l'extérieur, la Suisse est souvent perçue comme un bloc, mais en réalité c'est un pays dont les particularismes sont très forts, notamment en matière de langues, de religions ou de relations entre Eglises et Etat.

Ce livre présente les travaux de recherches élaborés pour un colloque organisé en septembre 1994 par la Fondation ambrosienne Paul VI. Ses 23 auteurs, répertoriés dans un index en fin de volume, présentent différents aspects de l'histoire religieuse de la Suisse jusqu'à l'aube du XXe siècle. Parmi ceux-ci, on peut noter l’évangélisation et l'organisation ecclésiastique au Moyen-Age avec de grandes différences entre la Suisse alémanique, la Suisse romande et la Suisse italienne ; la présentation de figures comme Nicolas de Flue et Charles Borromée ; les relations avec le Pape et le Saint-Siège ; divers épisodes de la lutte entre l'Eglise catholique et l'Etat au XIXe siècle.

Ces travaux de recherche sont complétés par une brève chronologie de l'histoire du christianisme en Suisse, des biographies des principaux acteurs de l'histoire religieuse au XXe siècle (31 personnes), d’une bibliographie sélective et de 2 cartes.

L'héritage religieux pèse encore beaucoup sur la société suisse. Mais la Suisse accepte de l'intégrer dans son désir du "vouloir vivre ensemble", comme le dit le père Bédouelle.

Que reste-t-il de la Fribourg des temps classiques ? Tout et rien. Tout : la mainmise de l’Eglise catholique, les familles patriciennes, le fromage. Rien : leur pouvoir – sauf pour le fromage – s’est effondré. Fribourg s’est construite en concurrence, en imitation et en concurrence avec sa grande sœur Berne. Si elle s’en sépare au seizième siècle, c’est parce que cette dernière est passée à la Réforme alors que Fribourg fait le choix – au milieu des hérétiques – de rester fidèle au catholicisme. Il s’agira pendant les deux siècles qui suivent d’affermir ce choix en devenant plus catholique que le pape, en fondant le Collège Saint-Michel, en processionnant en grandes pompes le jour de la Fête-Dieu, en faisant de la religion catholique le mètre étalon de tout acte. Cette domination n’a pu se bâtir qu’avec le soutien, l’engagement et l’autoritarisme des grandes familles de Fribourg, grandes familles souvent autoproclamées mais qui s’installe sans partage au pouvoir pour plusieurs siècles. Pendant ce temps-là, dans les campagnes, on va à la messe et on fabrique du fromage, du fromage que l’on vend loin à la ronde, ce fameux fromage de gruyère qui fut – presque, le livre évoque les autres industries – le seul succès économique d’une ville et d’un canton à la fois figé et ouvert – à la France catholique surtout – qui se frotte à la modernité pour mieux la refuser. On trouve encore cela dans les mentalités dzodzettes aujourd’hui.

L'historien François Walter n'a pas son pareil pour dresser le portrait d'une saison ! Après son fascinant ouvrage sur l'hiver, le voici de retour avec cette minutieuse description du printemps, passionnée et passionnante. L'auteur nous offre toujours une mine d'informations pour qui s'intéresse aux pratiques culturelles de nos ancêtres, le tout délivré avec une plume légère et agréable.

Une excellente entrée en matière, y compris pour ceux qui ne sont pas habitués aux écrits universitaires !

Comment apprivoiser un cauchemar de François Walter



Note ⭐️⭐️

💭le texte parle directement au lecteur en lui posant une question



💭l’auteur donne une technique de visualisation au lecteur pour apprendre à se protéger, de calmer. Je trouve cela difficile à30 ans donc pour un enfant je suis pas sûr



💭la rencontre avec le monstre est attendrissante



💭un peu déçue titre promettant mais j’ai trouvé l’historique creuse

Sans doute la travail de synthèse le plus exhaustif et le plus abouti sur le sujet. C'est un vrai plaisir de se plonger dans cette lecture hivernale et rassurante qui nous fait découvrir toutes les subtilités passées, présentes et futures d'un mythe éternel.

Si vous arrivez à vous le procurer, je vous en recommande la lecture sans l'ombre d'une hésitation.

Bon et saint temps de Noël à toute la communauté Babelio !

Le fantôme rigolo: une histoire d'Halloween pour enfants est un livre pour enfant qui aborde le thème d'Halloween, la chasse aux bonbons, les déguisements, la fête entre amis, s'amuser à se faire peur.



Dans cette histoire, nous suivons une bandes de trois amis animaux, un renard, un écureuil et un lapin, qui se sont déguisés, qui en squelette, qui en vampire, afin de partir à la nuit tombée faire la chasse aux bonbons. Mais quand ils se retrouveront nez à nez avec un fantôme, brrr. Une histoire qui met à l'honneur l'amitié et le courage afin de vaincre ses peurs.





Bonne lecture !
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Je t'aime de tout mon cœur est un livre pour enfant qui aborde le thème de l'amour parental et l'amour inconditionnel.



Cette histoire est une ode à l'amour, un message d'encouragement, pour renforcer la confiance de votre enfant en lui, sa sécurité émotionnelle. Le texte écrit en rimes est très doux, très agréable à lire. Accompagné de magnifiques illustrations aux personnages attendrissants, ce livre saura vous ravire assurément.



Bonne lecture !


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Une histoire de Noël au long cours pour comprendre que les crèches et les sapins n'ont pas toujours fait partie de la fête.
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Le résultat est stupéfiant : Hiver. Histoire d’une saison, qui s’inscrit dans le sillage des travaux, entre autres, d’Emmanuel Le Roy Ladurie, est une véritable mine de connaissances, d’anecdotes et de notations érudites, de références artistiques et littéraires, qui illustrent la façon dont se sont façonnés au cours des temps l’imaginaire et les usages sociaux autour de la «morte saison».
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