Tous ceux qui travaillent sur Concorde, pour le réaliser, le commercialiser, mènent une véritable histoire d'amour avec cet oiseau, et on peut les comprendre. Ils deviennent furieux quand on suggère que l'argent public est, là, mal employé en fonction d'une fausse estimation du bien commun, dont ils ne portent évidemment pas la responsabilité. Ils réagissent comme si on leur disait : "votre enfant est beau, mais qu'est-ce qu'il vous rapporte ?"