La vie du prophète nous enferme dans sa vision, se dit-il. Et un prophète ne pourrait s'échapper de cette vision qu'en créant sa propre mort, en opposition avec la vision. Cela apparaissait ainsi dans la vision redoublée de Leto et il s'interrogea sur le choix qu'il avait fait. Pauvre Jean-Baptiste, se dit-il. Si seulement il avait eu le courage de mourir autrement.... Mais peut-être son choix était-il le plus courageux.... Comment puis-je savoir les alternatives qu'il affrontait ? Mais je sais quelles étaient les alternatives qu'affrontait mon père.