La brièveté de beaucoup de ces pièces se prêtait au goût qu’avait Chopin d’offrir des copies de ses compositions en signe d’amitié. C’est pourquoi, dans le cas des mazurkas précisément, les sources se présentent de façon largement dispersée. Il y a non seulement des esquisses, des brouillons, des manuscrits de travail et des copies au net, mais encore une quantité de feuillets d’album qui devaient jouer le rôle d’hommages, et qui furent probablement écrits de mémoire.