En juin 2000, après avoir été le fondé de pouvoir d’une banque, directeur commercial dans l’immobilier et dirigeant de société, Frederick Candon décide de changer radicalement de vie, non sans douleurs. Il utilise ses expériences comme des atouts pour tracer une nouvelle route et s’initie à la sculpture sur fer, à la peinture, puis à la photographie. Il crée un atelier boutique à Versailles et, durant plus de vingt ans, il exerce son art comme peintre et sculpteur dont les œuvres sont proposées en galeries.
Depuis tout petit, il aime se faire remarquer, être dans la lumière ; le fait sans doute d’avoir un oncle comédien de théâtre et acteur connu (André Weber) a dû résonner en lui dès l'enfance.
Fin 2017, retraité, il décide de se laisser pousser la barbe et postule auprès d’agences de mannequins seniors. Commence alors une nouvelle aventure, celle qu’il n’a pas osée ou que ses parents ne l’ont pas laissé tenter ; la banque, c’était bien plus rassurant.
Frederick a la parution de deux récits autoédités à son actif : Ma mère a la zeimeure (2012) et Chroniques d’un quinqua ordinaire (2013). Son roman Sous l’œil de l’ange paraît chez L’Écharpe d’Iris dans la collection L’Écharpe bleue au printemps 2024.
Elle me faisait juste remarquer en souriant que le cadre pour mon introspection lui paraissait enchanteur. Huit jours à glander au soleil entre piscine et grande bleue.
Je n’aurais pas imaginé qu’en Thaïlande la mer se retirait.