J’ai remarqué que les logeurs haïssent généralement ceux qu’ils hébergent. Ils veulent bien prendre l’argent du locataire mais le considèrent comme un intrus et adoptent à son égard une attitude de jalouse suspicion destinée, au bout du compte, à faire en sorte que le pensionnaire ne se sente pas trop « chez lui ». C’est la conséquence, inévitable, du système pernicieux qui oblige quelqu’un à loger des gens sans faire lui-même partie de la famille. (Page 18)