On sait qui on perd et on ne sait pas qui l’on trouve. J’avais une brave femme, une belle femme, douce, courageuse, bonne à ses père et mère, bonne à son mari, bonne à ses enfants, bonne au travail, aux champs comme à la maison, adroite à l’ouvrage, bonne à tout enfin ; et quand vous me l’avez donnée, quand je l’ai prise, nous n’avions pas mis dans nos conditions que je viendrais à l’oublier si j’avais le malheur de la perdre.