LE COMMISSAIRE — En vérité, monsieur Punèz, je pense que vous êtes absorbé par l'amour ou que j'ai trop auguré de votre intelligence. Il faut en finir. Taisez-vous ! Je veux bien être bon enfant, mais j'entends ne pas être dupe. Que ce mot vous serve de leçon ! C'est d'ailleurs la dernière que vous recevrez de moi ; vous pouvez vous le tenir pour dit. Je vous salue, monsieur Punèz.
MONSIEUR PUNEZ, humble et souriant. — Je suis d'origine espagnole, mon nom se prononce Pougnèze.
(Il salue jusqu'à terre et sort.)