La vie post-mortem du pharaon dépendait de la préservation de son enveloppe charnelle, celle-ci étant acquise par la momification, sommaire ou élaborée. Encore fallait-il assurer la durabilité et l'inviolabilité de la sépulture. A priori, rien ne pouvait satisfaire davantage à ces deux exigences que la masse des pyramides.
Qui a écrit : "Le pire, c'est qu'on se demande comment le lendemain on trouvera assez de forces pour continuer à faire ce qu'on a fait la veille ? Ou on trouvera la force pour ces démarches imbéciles, ces milles projets qui n'aboutissent à rien, ces tentatives pour sortir de l'accablante nécessité, tentatives qui toujours avortent ..." (indice : Courbevoie)