Gini Hartzmark

J'ai eu un mal fou à finir ce livre...

Je l'ai débuté durant ma période covidé, en me disant, comme le livre à l'air intéressant, mon confinement se passera bien.

Tu parles ! J'ais mis 4 jours à le finir alors qu'il fait même pas 300 pages !



J'ai eu du mal à suivre l'histoire et comprendre les intérêts de chaque personnages dans l'histoire. Beaucoup de passages sont inintéressants, long et ennuyeux.



Comme vous pouvez le lire, je n'aime pas ce livre. En même temps, il ne m'a pas aidé à aller mieux durant ma période covidé...

Il y a près de deux ans que je n'ai pas critiquer un thriller médicale la dernière fois c'était pour le livre de Entre bonne main d'Abbie Taylor. Encore plus pour l'écrivaine Gini Hartzmark où j'avais lu Le prédateur et que j'avais bien aimé. Pour l'intrigue, ce fut un savant mélange de thriller médicale et judiciaire même jusqu'à la toute fin je ne savais pas dans quelle genre le mettre. Les personnages sont attachant et le rythme est bon. Digne d'un Robin Cook ou d'un Michael Palmer à lire absolument !

Dire que Grasset a publié ce roman à sa sortie... Ça me dépasse complètement. Pour ma part impossible d'accrocher. J'ai lâché prise avant la p.40. Je n'ai pas compris la mise en place, je n'ai pas aimé les personnages. SSi l'on considère que les premières pages d'un roman sont essentielles pour capter le lecteur, ici c'est raté. En tout cas pour ce qui me concerne.

nul