Selon les termes de Mola : " il est nécessaire de propager un climat de terreur..
Tout personne oeuvrant à la défense du Front populaire doit être fusillé".
De ce fait, l'extermination massive prétend revêtir la légitimité d'un combat du Bien contre le Mal.
La mort de Federico Garcia Lorca symbolise l'expression de ce fanatisme mêlé d'esprit de vengeance.