À une époque, quand un hashashin dansait, les méchants périssaient. Il avait le pouvoir de faire et défaire les fortunes. L'éclat d'une lame pouvait changer le cours du monde. Ils étaient des poètes de la mort. L'honneur faisait partie de leurs valeurs.
Mais c'était bien avant l'époque de Nasir. Il ne vivait pas : il existait, rien de plus. Et pour comprendre la différence entre les deux, il fallait avoir cessé de vivre.
Love is for the children said the girl.
Death is for the fools, said the shadow.
Darkness is my destiny, said the boy.
Allegiance is my undoing, said the eagle.
Suffering is our fate, said the beauty.
And they were all horribly wrong.
"La mort fait trembler les vivants. Agis comme si tu étais la mort en personne. Commande-la comme si tu étais son maître. Ne compte sur personne car ton ombre t’abandonnera quand l’heure la plus sombre sera venue." (p50 du format relié)
"Rouhi" c'était quand une âme s'était liée à sa jumelle et aimait avec la force d'un millier de soleils. Quand l'amour se glissait sous le cœur et s'entremêlait dans les fibres mêmes d'une existence.