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Critiques de Horace Engdahl (13)
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Le dernier porc

Monsieur Groin n'est pas content, il est même malheureux

bien qu'il ait été longtemps un mâle heureux!

Se remet-il en question? Pas vraiment

Mais au moins il réfléchit.



Sa regrettée Peggy l'a balancé, alors il émet un long couinement qui prend la forme d'un monologue théâtral sous la plume de Horace Engdahl.

Qu'as-t-il fait pour mériter cela:

Est-il un simple verrat que l'on jette après la reproduction?

As-t-il atteint la date limite de péremption? le statut d' "inemployabilité"

Est-il devenu aveugle aux changements sociétaux?

Un homme sur le ponton, en équilibre, fragile, prêt pour le grand plongeon, un avenir à dessiner ou destiné à se noyer dans le chagrin, invisible.



Au delà de soliloques sur les rapports entre hommes et femmes, Le dernier porc d' Horace Engdahl (publié en 2016 et traduit du suédois par Elena Balzamo) offre une réflexion sur le temps qui passe, la solitude, l'indifférence tout en mettant en lumière aussi bien la crise d'identité que celle du lien social.



Emaillé de nombreuses références littéraires d'Hölderlin à Lars Gustafsson en passant par August Strindberg, il est un texte sensible, riche et étonnant, à mettre en parallèle avec les paroles de la chanson d'Angèle "Balance ton quoi" pour initier une discussion sur la place de chacun d'entre nous dans une société aux codes comportementaux bouleversés.
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Le dernier porc

Je remercie l’éditeur Serge Safran et Babelio pour ce livre reçu dans la cadre de la dernière opération masse critique. Un livre et un auteur que j’ai beaucoup appréciés.



S’il est un porc, je lui donne du sanglier. Quelque peu dénaturé, je lui redonne du sauvage. Libéré, je le revitalise et le sauvegarde en virilité.

Oui, je me reconnais en demanderesse assoiffée par la surenchère de ce qui doit m’advenir et l’ignorance de ce qui m’est déjà consenti. À trop falsifier les états, d’âmes et autres « statuts », homme, femme, figés dans nos élans, formatés en une copie d’un seul, à porter le pantalon je lui fournis la robe. Et pour se rejoindre à mi-chemin, de vivre seul avec soi-même…

Puissé-je souffrir un jour et crier : « je t’aimais, mais je ne le savais pas, ce n’est qu’en me perdant que je t’ai retrouvé » et te perdre pourtant. Voilà bien le jour et l’heure de notre contemporanéité, la surconsommation en tout, et en amour, le flux et le reflux, l’inflation et le pouvoir d’ébats de nos corps empressés ; la mort instantanée de nos temps désireux, apaisés.

Non ce n’est pas un pamphlet contre les femmes, le féminisme, je dirai même au contraire, que c’est une histoire qui a de la profondeur et beaucoup de tendresse, jugez-en :



― Mais il avoue qu’il ne peut pas vivre sans l’amour, c’est pourquoi il ne supporte pas d’être un chêne. Peut-être devinerait-il qu’il lui fallait d’abord perdre la raison. (Figure d’Hölderlin.)



― Il lève les bras pour représenter un arbre…

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Café existence

Après une très bonne expérience , j'ai reconduit l'expérience de Masse Critique , en faisant le choix de cet opus d'un auteur que j'ai découvert il y a peu .

Tout d'abord mettons les choses a plat , il ne s'agit pas ici d'un livre pour adulescents , fans de Casimir et de Marvel , il vaut mieux vous abstenir.

Il est de meme indique à ceux qui sont choqués par des livres qui ne suivent pas les règles de chapitrages de faire l'impasse .

Ici on est en présence d'un ouvrage qui sur la forme rappelle Cioran , avec ces très petits textes , quelques lignes pour certains .

Pour ma part je suis preneur de ce qui me surprend , que ce soit sur le plan cinéma , musique ou litterature .

L'auteur prend ici le temps de réfléchir sur l'existence contemporaine , de s'interroger sur le quotidien de l'homme , sur son passé qui conditionne fortement de plus en plus d'esprits qui on peur du monde et se replient sur eux même , sur le rapport de l'homme avec l'argent , ect...

Il est clair que ceux qui ne prisent guère les livres qui questionnent , qui vont au coeur de l'âme humaine pour y trouver le vrai visage tapi derrière les masques de circonstance , ceux là seront en difficulté ...

Ici , on a droit à une leçon de philosophie humaine , qui écrase toute la bibliographie bien indigeste d'un Onfray , une plongée au coeur de la psyché humaine , conduite avec un ton désabuse , ironique , qui rappelle tres fortement les cinéastes nordiques comme les frères Kaurismaki ou Roy Andersson .

Argh crient les adulescents adeptes de blockbusters décérébrés !

Kaurismaki et Andersson !!! Mais c'est quoi ce cinema " chiant " et " vide" ?!!

Ne vous en déplaise chers amis en culottes courtes a 45 ans , ce livre , cet excellent livre , que l'on déguste avec un chocolat ou un bon café bien chaud , s'avère aussi jubilatoire que L'homme sans passe , Juha , Au loin s'en vont les nuages ou Un pigeon perche sur une branche philosophait sur l'existence , œuvres très lentes , d'une acuité redoutable sur l'être humain , avec une ironie mordante très agréable .

Et ce livre très court , mais tres intense possède ce remarquable regard sur la condition humaine typique des pays nordiques , et c'est jubilatoire pour celui qui ouvre son esprit a une autre culture que celle des reacs et autres adulescents !

Il ne faut surtout pas manquer ce pur règal d'intelligence qui vous accompagnera longtemps , car on y trouve beaucoup de clés sur l'existence .

Juste un petit bémol sur la maquette du livre en lui meme , un peu pauvre au vu de la qualité du matériel littéraire en présence ici.

Merci à Babelio , et aux éditions Serge Safran .

Et pour suivre l'initiative de quelqu'un pour qui j'ai beaucoup de respect ici : Merci a vous d'avoir lu ce texte . Et merci a Michemuche pour sa politesse , son savoir vivre et sa sympathie .

Merci a ma belle qui m'accompagne et me supporte depuis si longtemps .

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La cigarette et le néant

Que faut-il à un auteur pour qu’il décide de partager ses pensées, ses critiques dans un livre avec des lecteurs inconnus et qu'il en ressorte quelque chose de bénéfique ?



Du courage et du talent !



Le titre est loin d’être évocateur et si on se limite au quatrième de couverture avant de commencer à tourner les pages on ne voit rien qui nous permettrait de comprendre le choix du titre.

J’ai donc commencé ma lecture avec ces seuls indices, si le début n’a rien de véritablement transcendant, par la suite le livre prend plus de consistance et l’auteur prend le temps de développer un peu plus son opinion sur certain thème.

J’aime beaucoup ce qui est aphorismes, maximes et apostilles, mais un livre qui ne contiendrait que cela serait vite ennuyeux. D’autant que l’on ne partage pas forcément certains d’entre eux et d’autres qui faut l’avouer pour ma part, je n’ai pas su comprendre en totalité.

Heureusement, Horace Engdahl, approfondit certains thèmes et c’est là je trouve que le livre prend son véritable intérêt.



L’un des thèmes abordés, va nous toucher particulièrement nous, lecteur plus ou moins sérieux qui prenons le temps de partager nos avis. En tous les cas, ça l’a été pour moi.

L’auteur explique que les écrivains qui prennent le risque d’écrire, doivent être ouvert à la critique, peu importe si elle est positive, négative, pas adapté… Il y aura toujours quelque chose à faire ressortir d’une critique.

Les opinions sont aussi diverses qu’ils y a de personne dans le monde. Qui peut dire que tel opinion est la bonne sous prétexte que c’est celle qui emporte le plus de suffrage. Personne !

Y a-t-il un intérêt à ne considérer que les critiques qui encense votre œuvre. Elles se ressembleront toutes, peut-être même que les précédentes auront influencés celles d’après.

Alors, que la critique qui se permettra de se placer en marge des autres critiques, qui se permettra d’apporter une réflexion différente, c’est elle qui vous place dans une position ou vous devez la confronter à votre opinion. A quoi sert d’avoir des opinions si tout le monde ont les même.



Cette lecture a été très plaisante, l’auteur « prestigieux académicien, et écrivain de premier ordre » nous dévoile son talent et ses pensées. On ressent vraiment, l’empathie que l’auteur à vis-à-vis du monde qui l’entoure. Il ne fait pas que critiquer, il donner les clés d’une réflexion qui a pour but d’améliorer la condition humaine.



Une belle découverte que je dois à Babelio et à l’éditeur. Un plaisir à renouveler.

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Le dernier porc

Le choix de la couverture va dans le sens d’une publication qui se veut courageuse. Le dernier porc, dernier livre de Horace Engdahl publié chez Serge Safran Editeur, résonne fortement et évidemment avec l’actualité de ces derniers mois. Mais loin d’inscrire son au côté de la meute rugissante des soutiens aveugles, l’auteur suédois parfaitement francophone vient compléter le débat et se range plutôt avec les voix, certes divergentes, mais soucieuses d’échanger et discuter sur cette situation de la femme qui mérite, plus que jamais, des bouleversements profonds. De qui traite Engdahl dans son dernier livre ? Va-t-on profiter d’une énième histoire au côté des victimes ? Faux. L’auteur fait parler un porc, un vrai, de ceux qu’on balance.





# La bande-annonce





Un homme dont le couple vient de voler en éclats, essaie de recoller les morceaux. Son long monologue est une méditation sur la vie, le fait de vieillir, les rapports entre les individus. Et plus particulièrement ceux entre l'homme et la femme dans une société où non seulement la mort, mais aussi l'amour sont à crédit où l'homme, perpétuellement sur la défensive, essaie de comprendre et de faire comprendre un point de vue selon lequel tous les hommes ne sont pas des violeurs potentiels et toutes les femmes des victimes. Loin d'être un pamphlet antiféministe, ce petit livre est une réflexion sur l'abandon, sur les rapports modernes régis par le souci de rentabilité, y compris au niveau affectif...





# L’avis de Lettres it be





C’est un auteur habitué aux secousses qui revient donc dans les librairies françaises avec son troisième ouvrage traduit dans l’Hexagone. C’est chez Serge Safran Editeur que vous pourrez donc dénicher ce dernier porc. La longue complainte d’un homme, désormais seul après que sa femme l’a quitté, et qui va maintenant prendre tout le temps de gloser contre son époque, la vieillesse, les femmes et les hommes. Surtout les femmes.





Dans ce qui ressemble fort à un long monologue théâtral, Horace Engdahl propose de donner sa voix à ceux que l’on n’entend plus vraiment dans ces débats qui font rage. « Balance ton porc » est passé par là et depuis, « un homme ou deux sur trois est un agresseur » d’après les évaluations de Caroline de Haas. Tous les propos sont enflés du pus de l’absence de réflexion. Les réseaux sociaux relaient à l’aveugle et à la louche le moindre propos qui susciterait le maximum de retweets. Mais toujours est-il que la réflexion, la mesure et l’écoute des arguments adverses sont les grands absents de ces débats.





L’auteur suédois prend donc le contre-pied de la tendance et offre à la fiction la possibilité de déployer ses ailes sur toutes les pages qui composent ce livre. Ensuite, chacun reste libre d’adhérer ou pas à ce qui reste, finalement, que du vent, un vent frais fictionnel. Mais quelle joie d’entendre des voix contraires, d’entendre dire ce que l’on tente de taire faute de le combattre sérieusement. Parce que toutes les voix sont à entendre en littérature, Horace Engdahl nous en apporte, et c’était nécessaire, un bien bel exemple.





La chronique est à retrouver en intégralité sur le site Internet de Lettres it be
Lien : https://www.lettres-it-be.fr..
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La cigarette et le néant

La rédaction d’essais comportant des aphorismes, des critiques , des références à des auteurs connus est périlleuse ; cette voie ayant été emprunté par des auteurs et classiques très prestigieux dans notre littérature , il est risqué de s’y essayer de nouveau car l’intrépide littérateur qui passerait outre s’exposerait à décevoir ses lecteurs .Horace Engdahl, auteur suédois, familier des grands classiques de la littérature française allant du XVIIe jusqu'à nos jours s’est essayé à cette tâche dans son livre La Cigarette et le Néant . Et c’est absolument délicieux, c’est plein de finesse, d’esprit, d’impertinence, et aussi de légèreté avec en filigrane un soupçon d’ironie accompagnant ses observations .Ainsi, trouve-t-, cette remarque sur l’élitisme d’une actualité évidente : « Le problème de l’élitisme, c’est que seuls les éternels seconds y adhèrent .Les meilleurs, eux, s’identifient au plus grand nombre et se jugent ordinaires. »

Ou encore sur le caractère irremplaçable de l’amitié : « Les amis, autant de portes ouvertes sur le monde, que la vie mure l’une après l’autre, inexorablement.

»Chaque fois qu’un ami meure, la porte se rouvre, mais seulement sur la pièce où jadis nous étions jeunes. »

Le livre est riche d’autres observations sur les notions et situations les plus diverses : l’auteur dissèque ainsi le rôle que devrait selon lui, adopter un critique littéraire digne de ce nom ; il énonce ailleurs une définition de la sagesse personnelle : « Quand je m’interroge sur ce que je ferai dans les années à venir, je me rends compte qu’en réalité je me demande comment je vais me distinguer(…) Le seul problème : la sagesse du renoncement nous semble toujours valoir pour les autres. »

Le passage qui a servi à composer le titre du livre est drôle, plein d’esprit et de dérision , comme le reste de l’ouvrage .Horace Engdahl y décrit le rôle salvateur attribué à la cigarette , du temps où l’on pouvait encore fumer en tous lieux : « Quand on est vraiment secoué , il n’y a qu’une Camel sans filtre vous pous remonter , même si ça fait des décennies qu’on a arrêté de fumer .La perspective de la fin du monde serait parfaitement supportable , si seulement on pouvait s’en griller une après. »

Ouvrage à recommander. Soigne par son humour et sa profondeur, les doutes et égratignures du quotidien.



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Le dernier porc

Un monologue théâtralisé qui me laisse un sentiment mitigé. À la fois superbement écrit, précis, d'une langue soignée et juste, et à la fois terriblement vaporeux, éparpillé et comme... insuffisant. La quatrième de couv' semble broder sur les intentions de l'auteur et le contexte, mais étoffe exagérément ce que l'on peut percevoir en réalité du texte. De l'amertume, une réflexion sur l'éternelle place de l'Homme, non pas seulement dans sa relation à la femme mais dans le monde, dans sa relation à l'autre quel qu'il soit, à travers son utilité, l'art, la psychologie, sont là, mais tellement survolés que ç'en est frustrant. Un texte qui aurait pu être grand, mais trop esquissé à mon goût.
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Le dernier porc

Je remercie BABELIO pour sa masse critique du mois de fevrier avec l'envoi de ce livre

Une belle plume d'érudit cela va s'en dire. Mais

ce long monologue, à la fois théâtralisé et à la fois un accès direct de la pensée d'un homme m'a profondément ennuyé.



J'attendais de le lire avec une grande impatience, mais je n'ai pas du tout était sensible à cette écriture qui n'est qu'une suite de phrases on en oublie le fil conducteur "l'homme blessé quitté qui essaie de se relever".

Les pensées retranscrites sont modernes et intéressantes, de nombreux sujets sociétaux et liés aux rapports hommes/femmes sont abordés avec justesse et précision, dans une qualité d'écrits plus qu'excellente. Des centaines de réflexions écrites à l'encre noire sur papier blanc nous sont livrées, comme jetées en pâture ("aux porcs" peut être !) amenant toute une palette de sentiments avec elles : on s'insurge, on s'interroge, on s'accorde, mais il n'y a pas à en douter l'auteur écrit justement mais cela n'a pas atteint mon "moi "profond".



"L'art nous anesthésie à 90% afin que nous puissions gérer les 10% d'émotions qui restent"





Beaucoup de vérités sont présentes, un livre dans le réel sans faux semblants, à lire à tête reposée pour un peu plus de recul sur le genre humain.
Lien : https://happymandapassions.b..
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Café existence

Quelle perte de temps ! L'auteur nous annonce la couleur dès le début, avec sa note "au lecteur français" : cette oeuvre sera suffisante ou ne sera pas ! Chaque fragment crie le "moi, je"! Certains sont totalement creux, tant est si bien qu'on a envie de répondre "oui, et ?..." ; et quand enfin, on a droit à un peu de contenu, à l'élaboration d'une pensée construite et pertinente, sa conclusion laisse paraître toute la fatuité et la satisfaction produites par sa rédaction...

Je ne sais pas quelle était la volonté de l'auteur, et mon propos n'est pas de dire qu'il écrit par vanité, mais cette oeuvre est à mon sens maladroite, et trop auto-centrée pour me convenir. Je ne lui jette pas la pierre ! Mais pour une première tentative avec Engdahl, c'est raté ! Je ne suis tout simplement pas sensible à son style... J'espère le croiser de nouveau dans d'autres circonstances, peut-être sur un autre exercice... En attendant, et en ce qui concerne l'aphorisme, je m'en retourne vers Cioran... indétrônable...
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La cigarette et le néant

De prime abord, chez Horace Engdahl, le lecteur de La Cigarette et le Néant est souvent soumis à cette seule question de digressions philosophiques où « vous avez quatre heures » pour argumenter. Mais s'arrêter à cela, à la brièveté de certains aphorismes, à la concision, c'est passer outre l'éclat de telle ou telle perle. Les pages sur la critique de même que les considérations réactionnaires où nous entraînent l'auteur (la métaphysique du blogueur, l'auto-dérision, l'humour, voir carrément l'ironie) valent leur pesant. De page en page, de gré en gré, au fur et à mesure de ces envies que l'on prête au livre de chevet, voilà que l'on se laisse conquérir, j'allais dire piéger. C'est aussi précisément là où le talent du Suédois opère, dans ce fil ténu de la littérature exsangue de toute emphase. Un style dépouillé qui tue le temps.

Et de temps justement, ne doutons pas qu'il en faut pour rédiger 158 pages taillées au cordeau. Beau jardin, monsieur Engdahl !

Et belle découverte, quant à moi, d'un auteur et d'un dénicheur de talents, l'éditeur Serge Safran.
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Le dernier porc

L’écrivain suédois livre le perturbant monologue d’un homme qui déshabille volontiers les femmes du regard mais se méfie d’elles.
Lien : http://www.lemonde.fr/livres..
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Café existence

Livre gagné dans le cadre de la masse critique de septembre 2015.



"Café existence" est un livre très agréable à lire. Avec des nouvelles très courtes et pertinentes, ce livre nous plonge dans une réflexion sur nous-même, notre entourage, notre vie en général.

Un excellent livre à lire accompagné d'un bon café !



"Une lecture est une aventure personnelle, sinon « à quoi bon ? »"

Michel Host



« Quand on se mêle de littérature, mieux vaut dire une absurdité qu’une platitude. […] La vérité doit être surprise : elle ne se trouve jamais à l’adresse de son domicile », Horace Engdahl
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La cigarette et le néant

En lecteur attentif des moralistes français, Engdahl maîtrise bien son art. Il n'hésite pas d'ailleurs à se placer implicitement dans leur sillage, de Chamfort à Cioran.
Lien : http://www.actualitte.com/cr..
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