Les coupables, ce sont les rats ; les rats dont la galopade furtive ne me laissera plus jamais dormir ; les rats démoniaques qui courent derrière le capitonnage des murs de cette pièce et veulent m’entraîner vers des horreurs plus grandes que toutes celles que j’ai connues ; les rats que les autres n’entendent jamais ; les rats, les rats dans les murs.