Effectivement, un lecteur compulsif est un conquérant. Et il considère les terres imprimées qui s'offrent à lui comme valant bien celles conquises par Alexandre, Gengis Kahn, Tamerlan ou Napoléon, au moins aussi fascinantes et riches et dans tous les cas exigeant moins de dévastations inutiles, de cruautés et de sang versé. (p. 62)