La pensée vivante qui s'élance d'un roncier mortel provoque l'élongation et la maigreur des figures. Elles ont perdu leur excès de graisse dans le feu qui les redresse. La terre froide découvre et révèle sa forme par la chaleur des mains qui la façonnent. Et le brouillard gris de la toile balayée laisse apparaître les traits saillants de la tête creusée dans le roc.