Après un intervalle de silence, l'homme parla. Il me dit que mon ami était un garçon mal élevé, et me demanda si on lui donnait souvent le fouet à l'école. (...) Il dit que quand les garçons étaient de cette espèce, on devait les fouetter vigoureusement ; que, quand un garçon était mal élevé et indiscipliné, rien ne pouvait lui faire plus de bien qu'une bonne et saine correction.
Une tape sur la main, ou les oreilles tirées, ça ne servait à rien : ce qu'il fallait, c'était une jolie et chaude correction.