Chaque maison avait son surveillant, et tout étranger était signalé à la police.
Les informateurs infestaient les rues, les cafés, les gares, les usines, les ports et les bateaux. Ils formaient une armée d'espions bénévoles, dont l'existence et l'activité pouvaient seules expliquer les succès extraordinaires de la Gestapo.