Parfois les cris de colère ou les appels à l'aide ou bien les voix tonnantes qui attaquaient " l'Internationale" et se taisaient sur le vibrant adieu lancé à ces centaines de vivants qui écoutaient, couchés dans leur cellules.
La plupart cependant s'en allaient calmement, sans plaintes, ni imprécations ;seuls les cris de solidarité, d'indignation et de haines échappés de lointaines fenêtres, donnaient peut être au prisonnier l'illusion qu'il ne mourait pas en vain.