Au cours des jours suivants, alors même qu’un jeune communiste hollandais avait été rapidement appréhendé et accusé d’avoir mis le feu, les représailles continuèrent comme si de rien n’était. Des groupes de chemises brunes sillonnaient en camions les quartiers communistes, procédant à des arrestations massives, brisant les vitres et pillant les magasins. Des mesures limitant fortement la liberté individuelle s’ensuivirent.