Ces fables ne sont que le plaisir d’un été. Je voudrais qu’on les lise aussi vite et aussi facilement que je les ai faites et, si l’on y prend un peu de plaisir — ajouté au mien — il justifiera amplement cette entreprise futile. Il y a tant de gens dont c’est le gagne-pain de penser, de nos jours, que ce petit livre refermé et oublié, les occasions d’être profond ne vous manqueront certainement pas.