A vrai dire, en approfondissant les réflexions que la découverte du monde avait fait naître en moi, je penchais pour un déisme anticlérical plus proche de celui de Voltaire que de Hume. J’avais eu maintes occasions de constater à quel point les dogmes et les croyances varient, servis par des prêtres qui, malgré les différences de leurs liturgies, contribuent tous à entraver la liberté des hommes et à faire naître entre eux des haines inutiles.
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