Jean-Claude Michot

C'est parti, dans les années 70, nous allons en Inde et arrivons après les hippies. Le voyage parfait et nous sommes immergés avec l'auteur et avançons avec joie au travers de cette terre mystérieuse.



Un des temps forts est Bénarès, lieu où les hindous souhaitent finir leur vie, où la mort est cette amie qu'on croise dans la rue en permanence. Les personnes sont soit vivantes, soit mortes, soit cendres qui reviennent aux vivants.

Il y a aussi Pondichéry et la misère extrême, les lépreux, ces gens qui n'ont pas d'autres possibilités que de vivre ou dormir sur leur pousse-pousse.

Et partout, comme dit le poète, les parfums, les couleurs et les sons se répondent. Avec les humains, au milieu de tout ça.



L'auteur nous plonge dans la contemplation. Le voyage certes, mais aussi le quotidien d'occidentaux au milieu des populations, qui s'interrompent parfois pour les regarder, mais dont la vie ne s'arrête pas, tourbillon éternel d'une marée humaine. Il décrit beaucoup et nous immerge, s'autorisant quelques sobres pistes de réflexion et de sagesse.



Un grand plaisir et un grand voyage, dans mon canapé.

Avec Nom de code : C19, Jean-Claude Michot signe un court roman d’actualité.



Il n’est pas dans mon habitude de déflorer l’histoire ce qui serait encore plus dommage pour ce roman d’ambiance et de suspens. Disons que j’ai passé un bon moment de lecture même si je ferme l’ouvrage avec quelques regrets, ce qui explique ce deux étoiles et demie seulement.



L’histoire aurait pu être un peu plus fouillée afin d’être un poil moins naïve. Certaines scènes m’ont ainsi paru un peu mièvres, les méchants étant parfois trop gentils face aux enjeux de cette course poursuite. L’auteur est taiseux sur l’activité de la Police. Pourtant ça aurait sans doute densifier l’intrigue. L’écriture si elle est très agréable à lire mérite elle aussi de passer au tamis d’une relecture plus « dure » pour tonifier le texte.



En conclusion : un bon roman auto-édité avec une lecture de la dernière crise pandémique très intéressante. Certains crieront au complotisme, d’autres penseront qu’on s’approche de la vérité… A vous de vous faire une idée.

Un bon petit thriller qui se lit vite tant on est captivé par une course poursuite entre des quidams et des tueurs professionnels. Le tout se passe en 2020, vous voyez un peu le rapport avec le titre ? Le style est simple et les personnages sont tous très humains, l'auteur ayant l'art de leur donner du relief avec de tout petits rien du quotidien et quelques réflexions bien venues.



Il y a de l'ambiance et c'est le plus important dans ce livre : des intérieurs de maisons, des routes de campagne, des places de villages, des rencontres aussi.



Oui il y a une inspiration complotiste et des rebondissements dans l'aventure. J'aurais aimé que cela dérapât un peu plus sur le complot, un peu plus d'uchronie, quand l'histoire dévie du chemin que nous lui connaissons, à partir de février 2020. C'est mon côté SF qui parle… je suis incorrigible.



Il en reste un excellent moment avec des personnages attachants et une histoire qui nous semble si proche de nous. Ce n'est pas moi qui suis tombé par hasard sur cette clé fameuse USB, et c'est tant mieux !

Bonjour,



Voici un thriller que je viens vous chroniquer en retour de lecture : "Le sourire du tueur" de Jean-Claude Michot en autoédition.



On va naviguer de Lyon à Caluire dans une histoire de vengeance sur une période assez vaste, allant de 1943 jusqu'en 2021. Trois personnages, avec leur histoire familiale, qui vont suivre le cours de leur vie. Que s'est-il passé dans ces trois familles pour que cette histoire affecte jusqu'à leur descendance ?



Magnifique comme toujours. j'adore l'écriture de Jean-Claude. Précise, sans fioriture, facile à lire, il sait mener son lecteur dans les péripéties toujours aussi bien travaillées, les personnages ont une profondeur d'âme qui les rend tellement crédibles, très humains.



Au départ, le récit est tortueux, on sent bien le fil de la destinée qu'il va falloir parcourir à nos héros pour enfin trouver la paix et la sérénité. Le lecteur reste captivé par l'intrigue, qui s'annonce comme l'aventure d'une vie.



Le tueur à gages, le détective privé, les résistants, le colonel allemand, tous ces protagonistes jouent fort bien leur rôle. la construction de l'histoire révèle peu à peu la trahison et le chemin de la vengeance prend forme sous nos yeux.



Encore une fois, un treizième livre réussi qui tient toutes ses promesses. J'ai passé un très bon moment de lecture. Et tout en refermant le livre sur la dernière page, sur mon visage s'est affiché le sourire du tueur. Pour comprendre pourquoi, il vous faudra lire cet excellent roman !



Bonne lecture, amis Lecteurs !



Je remercie chaleureusement Jean-Claude pour l'envoi de son ebook.
Lien : https://lecture-chronique.bl..

Avec son treizième livre, « Le sourire du tueur », dont l’action se déroule au cours de plusieurs périodes situées entre 1943 et 2021, Jean-Claude Michot, auteur prolifique, nous entraîne, au départ d’une trahison au cours de la Seconde Guerre mondiale, sur les traces des membres de trois familles et de leurs descendants, dans un sombre et sanglant récit de vengeance où se croisent, notamment, tueur à gages et détective privé.

Pour peu que vous soyez adepte d’histoires tortueuses et captivantes, et que vous soyez prêt à suivre attentivement le parcours singulier de chacun des personnages atypiques mêlés à cette intrigue, ce livre devrait vous satisfaire pleinement.

Ce roman, assez court, est parfaitement construit, joliment rythmé et il se lit facilement. L’écriture est précise, sans fioritures et la psychologie des divers protagonistes suffisamment développée pour que l’on puisse suivre aisément chacun dans son raisonnement, fût-il, parfois, immoral.

Bref, un récit de vengeance funeste mais une lecture agréable.

Déja merci a l'auteur pour l'envoi et pour sa confiance.

J'ai vraiment adorée lire ce livre qui parle de vaccin, de pandémie, de masques et d'effets secondaires.

Victor libraire apprends qu'il es atteint d'une maladie incurable, est ce du au vaccin ou a autre chose, il cogite beaucoup à ce sujet.



Puis sans rien demander à personne il décide de partir en Inde car il es mourant, il part a Bénarès, et la il va vivre de belles émotions, et surtout le choix de ce voyage aura des conséquences, mais je ne peux pas trop en dire au risque de spoilier la fin de l'histoire.

C'est aussi un livre qui parle de résilience, de trahison , de pardon et surtout d'espoir.

Et surtout comment nous ferions si cela devais nous arrivés.

De belles descriptions de l'inde , une plume fluide et addictive j'ai passée un très bon moment.

3 époques au long desquelles 3 familles vont entrer en relation pour le meilleur et surtout pour le pire.

L’histoire commence en 2021 au moment où Gustave De Bonneval trahit son patron de laboratoire en vendant un secret de fabrication. Comme peu après sa femme et sa fille sont assassinées, Gustave soupçonne son patron et engage un tueur à gages pour le supprimer.

Nous sommes à présent en 1943 sous l’occupation nazie. Emile Delair et son ami André Taillefert sont des résistants, tandis que Charles De Bonneval fait ses affaires avec les allemands et n’hésite pas à dénoncer Emile qui, menacé de tortures, livre son ami André. Ce dernier résistera aux tortures et mourra en héros, admiré par son fils et son petit-fils.

1990 est une époque intermédiaire, celle où chaque famille tente de panser ses plaies ou d’oublier sa honte.



L’auteur nous donne à voir un aspect de la transmission rarement abordé, celui qui saute une génération pour mieux imprégner celle des petits-enfants. En effet dans chacune des trois familles, de grand-père à petit-fils se transmet un héritage psychologique et comportemental. Chose que j’ai souvent remarqué dans la vraie vie.

Il nous dit aussi, à travers son récit complexe, l’inutilité de la vengeance qui nuit bien davantage au vengeur qu’au vengé . Il nous dit surtout la difficulté et la générosité d’une

réconciliation entre les familles, ouvrant enfin un horizon de paix.

Un récit sans temps mort, une écriture efficace et un tueur au sourire énigmatique, et cela sur le temps de la vie d’un homme



Merci à l’auteur de m’avoir permis cette lecture.
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L’inspecteur Didier Vagan doit enquêter, et vite s’il vous plaî^t, sur le meurtre de deux prostituées étranglées, un crucifix planté dans la bouche et une image d’un aigle royal déposé près de leurs dépouilles.

A côté de cela, une jeune femme, Angelina, est portée disparue depuis plus de cinq ans. Le policier qui était en charge à l’époque, peu intéressé par ce dossier et incompétent notoire, n’aboutit à rien si bien que, l’espoir diminuant. Arthur, son compagnon part, 4 années durant, se reconstruire dans un monastère

La personnalité et la vie d’Angelina sont au coeur de ce roman policier, et quelle vie puisque toute jeune elle tombe amoureuse d’un bel espagnol qui après moult caresses, la met sur le trottoir. Elle réussit à s’enfuit, rencontre Arthur, vit le bonheur avec lui, mais elle sait que son espagnol ne lui pardonnera jamais d’avoir été berné

Qu’adviendra-t-il d’Angelina ? Et qui donc assassine des prostituées en laissant de tels symboles sur elles ?

.

Ce roman apporte tout son coeur et son talent à nous montrer comment une jeune femme romantique et naïve peut tomber dans les filets de la prostitution, et dès lors y risquer sa vie, du fait d’un client violent, d’un désir de quitter ce milieu ou d’un tueur pour lequel ces femmes sont des cibles idéales.

Le côté policier par contre, est moins travaillé et l’enquête de Vagan, ce flic qui joue à la brute vulgaire, se déroule sans grandes surprises ni rebondissements, à l’instar sans doute de ce qui se passe réellement dans le quotidien d’un enquêteur.

Si certaines pages sont écrites dans un style polar facile, d’autres sont davantage étudiées, notamment celles sur Angelina. Je dirais donc que sans être un chef d’oeuvre, ce roman policier se lit agréablement.



Merci à Jean-Claude Michot et à SimPlement pour cette lecture.
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Ce roman est encore une bien belle surprise, car l’auteur a su avec subtilité nous amener là où il l’espérait . Oui j’ai mordu à l’hameçon, d’abord pour ce qui arrive à ce pauvre Victor, comment ne pas se poser de questions et ne pas douter…Puis l’amour vient s’en mêler avec la jeune et jolie Mylène dont les parents ont de bien lourds secrets. C’est cet amour qui poussera ce pauvre Victor à partir s’exiler en Inde , plus précisément à Bénarès pensant y finir ses jours dans la sérénité, nous emmenant dans ses bagages pour un bien beau voyage…Tout aurait pu s’arrêter là comme Victor le pensait, mais pas du tout, l’auteur change radicalement de cap, nous réservant ainsi bien des surprises…J’ai apprécié ce style que je n’avais encore jamais rencontré chez Jean-Claude Michot alors que j’ai lu pratiquement tous ses romans , un style réussi sans tomber dans l’excès , avec juste le bon dosage.. J’ai vraiment passé un agréable moment avec ce récit pétillant qui se lit facilement et qui fait du bien . Je le recommande vivement …

Bonjour,



Voici un polar que je viens vous chroniquer en retour de lecture : "Maxime" de Jean-Claude Michot en autoédition.



Lyon, de nos jours. Maxime Maturet et Yvan Delorme sont amis de longue date et vont enlever le député du Rhône Yves Le Gaillec. Ils veulent venger l'ignominie perpétrée à l'encontre du peuple français, à savoir la vaccination obligatoire pour lequel le député a voté en sa faveur.



Les deux amis vont se rebeller contre ce qu'ils voient comme une injustice et vont assassiner le député pour l'exemple. La police, représentée par le capitaine Ramoz, va tout faire pour retrouver le député et enquêter sur ses ravisseurs.



En parallèle, Victorine vit une belle histoire d'amour adultère avec son patron, Henry Montalabert. L'avocat et sa bonne vont jouer un rôle essentiel dans cette histoire à l'engrenage mortel.



Belle histoire de vengeance, le sujet favori de Jean-Claude. Ce n'est pas la première fois qu'il fait de ce thème le sujet principal de ses livres et c'est à chaque fois une réussite.



Sujet ancré dans l'actualité avec la vaccination obligatoire. Les personnages, Maxime et Yvan, sont très remontés contre ça. A la lecture, on sent bien toute la rancœur poindre à travers les mots qui peuvent dépasser leurs pensées parfois. Il y a également une certaine animosité et une inspiration complotiste à l'égard des décideurs de ce pays.



Victorine me fait penser à une jeune fille très fleur bleue dans son histoire d'adultère avec son amant. Seulement son devoir de mère va rapidement la dépasser. On va découvrir une Victorine battante, attachante, mais avant tout humaine. J'ai éprouvé de l'aigreur face à Henriette, l'épouse de l'avocat qui n'a que faire des infidélités de son mari. Celle-là m'est apparue très antipathique, snobinarde ; tout l'inverse de Victorine.



L'histoire est bien rythmée. Des rebondissements en cascade, un suspense sous tension, une lecture facile et aisée grâce à la belle écriture de Jean-Claude. Il sait attirer et retenir son lecteur dans ces récits prenants et addictifs. Un thriller qui se savoure avec les yeux mais qui saura vous divertir l'esprit !



Bonne lecture amis lecteurs !



Je remercie chaleureusement Jean-Claude pour l'ebook.
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Le sourire du tueur, ne vous y trompez pas mesdames, car il n'a rien de séducteur! Avec ce récit, on va vivre plusieurs époques sur 3 générations dont celle de la seconde guerre avec ses soucis et ses dangers, surtout ceux liés à la résistance, les amitiés, mais surtout les trahisons qui ne pardonnent pas ! Tout cela l'auteur nous le décrit superbement, allant parfois très loin dans les détails de certaines "scènes" qui je l'avoue m'ont donné des frissons d'horreur....Et puis vient ce présent empreint d'une soif de vengeance rattrapant ce passé bien trouble. L'auteur avec une belle maîtrise s'en sort très bien dans ce méli-mélo qui personnellement, m'a un peu embrouillée...N'empêche ce roman je l'ai dévoré, on ne s'y ennuie pas une seconde...Avis aux curieux...

Quelques mots sur l’histoire :



Le 15 janvier 2020, Max quitte son travail pour retrouver Estelle, sa femme. Ils fêtent ce soir là l’anniversaire de leur rencontre : ils se sont rencontrés il y a 5 ans. Pour être reposé, il prend un taxi et non les transports comme à son habitude.



Son attention, soudain, est attiré par un petit objet de couleur verte posé sur la banquette. En y regardant de plus près, il voit que cet objet est une clé USB. Sans réellement comprendre son geste, Max prend la clé USB et la glisse dans la poche de son costume.

Le lendemain, il branche la clé pour en découvrir le contenu mais il ne voit que des symboles incompréhensibles dont il ne comprend pas le sens.



Le nouvel ordre mondial met tout en place pour récupérer cette clé et éliminer ceux qui ont connaissance de son contenu. Leur plan ? Rendre les individus malléables, soumis et de plus en plus demandeurs de servitudes. Ils ont tout prévu sauf le vol de cette clé.



Max et Estelle doivent s’enfuir, se cacher. Y parviendront-ils ? Le nouvel ordre mondial mettra-t-il son plan à exécution ? Tournez les pages du roman “Nom de code : C.19”, savourez le suspens de ce thriller.



Mon avis sur ce roman



Ce livre m’a plu parce qu’il est réaliste. L’auteur s’est inspiré des évènements de l’année 2020 pour écrire une fiction étrange. Ce roman est paru en septembre 2020 et en achevant son roman, Jean-Claude Michot ne pouvait pas anticiper sur ce que nous vivons encore en juin 2021.



Surprenant ? Oui, c’est le mot pour décrire ce thriller puisque je l’ai découvert ce mois-ci. L’intrigue est captivante et le lecteur se pose des questions sur le contenu de cette fameuse clé USB. Loin d’être un roman d’évasion, il procure beaucoup d’émotions contradictoires qui m’ont rappelés ce que j’ai vécu en 2020.



Ce thriller plaira à tous les lecteurs. Est-ce un simple roman d’espionnage ? Alors laissez-vous divertir et dévorez ce roman. Est-ce une intrigue romancée des changements de notre société ? Alors ce livre est à lire de toute urgence.
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Les premières pages des « Trois vies d’Albert » m’ont rapidement fait penser, sur la forme, à « Vipère au poing » de Bazin : Albert nous emporte ainsi dans le récit de sa vie, depuis son enfance jusqu’à ce jour où tout bascula. Pas de vipère ici : le fil conducteur s’est enroulé autour d’une image angélique, celle d’une petite fille au doux nom de Sidonie. Elle restera toujours dans ses pensées et elle décidera même de la vie qu’il devra mener s’il souhaite atteindre son but : la retrouver, retrouver son amour de toujours. Et jusqu’où, par amour, peut-on aller ? Le roman de Jean-Claude Michot apporte une réponse à cette question ! Il évoque la métamorphose, les angoisses, la plénitude ressentis par celui qui est devenu « dépendant. » Au point d’en perdre sa liberté ?

Une écriture fluide, un tempo qui ne laisse pas de place aux temps morts, une mise en abyme qui nous plonge dans l’inéluctable… C’est un roman qui tient ses promesses ! A vous de le découvrir !

Bon thriller sur un sujet actuel et brûlant de Jean-Claude Michot !



Gagné en e-book lors d'un concours lancé par l'auteur sur Twitter, j'ai accepté de lire ce thriller et de lui donner mon avis.



Je viens d'en terminer la lecture et j'en suis ravie.



Jean-Claude Michot est un écrivain de Lyon. Nom de code : C-19 est son dixième roman et cela se ressent car il sait mettre de la tension dans un thriller.



Tout commence avec une clé USB oubliée dans un taxi. Clé qu'un jeune homme subtilise par curiosité.



Pour écrire son histoire, M. Michot s'est inspiré des événements que nous avons tous vécus au début de la pandémie. On peut dire que l'angle choisi par cet auteur pour nous narrer sa vision « complotiste » de l'arrivée du virus dans le monde est assez pertinente.



Moi qui ne suis pas une adepte de ce genre, je l'ai lu en deux jours.

L'histoire est bien menée, il n'y a pas de temps mort et l'écriture est précise.

Malgré ce scénario avec des méchants qui paraissent intraitables, certains ont une humanité, ce qui apporte un peu de chaleur supplémentaire à cette histoire.



J'ai pris du plaisir à retrouver les personnages et à les suivre dans leur périple. J'avais envie de connaître la suite chaque fois que j'en arrêtais la lecture et à mes yeux, c'est cela qui compte.
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Les vignes de la veuve est un roman noir de Jean-claude Michot qu'il republiera plus tard dans une version édulcorée sous un nouveau titre "La veuve noire de Beaucharmant", titre qui en dit un peu plus sur la nature de Céline, veuve par deux fois et propriétaire d'un domaine viticole dans le Périgord. Si désormais le célibat lui sied bien, elle n'a nullement l'intention d'en rester là avec les hommes et multiplie les aventures. Pourtant sa rencontre avec Jean, propriétaire d'un magasin de musique à Bergerac, semble sonner le départ d'une belle histoire d'amour. Vite sous le charme, Jean va hélas apprendre à ses dépens que la fidélité n'est pas la principale qualité de l'insatiable Céline et porte bien vite son regard sur d'autres hommes. Excédé, Jean entame cette fois une relation amoureuse avec Martha, la femme de ménage de Céline, tandis que cette dernière jette son dévolu sur Victor, son directeur de chai. Mais Céline n'est pas une femme qu'on laisse tomber impunément et son côté obscur rêve désormais de vengeance. Mais dans sa quête de vengeance, ne va-t-elle pas jouer à un jeu trop dangereux ?



J'ai passé un bon moment de lecture avec ce roman qui somme toute se lit très vite. L'auteur, doté d'une écriture sans prise de tête, a fait le choix d'aller droit à l'essentiel et les événements s'enchaînent à grande vitesse sans temps mort. J'aurais cependant souhaité que certains passages soient un peu plus exploités et développés telle l'enquête policière qui se résume à un interrogatoire sommaire. Néanmoins, les nombreux rebondissements entretiennent le plaisir de la lecture jusqu'à son dénouement qui vous réserve encore quelques surprises.

Pour son treizième ouvrage, jean Claude Michot nous offre un polar mêlé de romance et de réflexion philosophique. J'avoue que je ne connaissais pas cet auteur mais au vu ce court roman, on peut se dire qu'on est passé à côté de quelque chose.

Une petite musique inhabituelle dans le monde du roman policier. Ni un thriller, ni un roman policier sociétal, ni un roman policier de mœurs mais un peu tout cela à la fois. Et si on y ajoute, un zeste de fantastique, un brin de coup de griffe à certaines dérives actuelles et un zeste de « new age », on aura une vague idée de ce qu'apporte ce livre.

Le pitch ? Victor, libraire à Lyon se découvre atteint d'une maladie incurable. Il en rend responsable le père de sa fiancée. Il se rend ensuite en Inde , à Bénarès la ville sainte hindou pour y retrouver une vérité dans la mort.

Je dois dire que ce résumé ne rend pas justice au livre. Comme je le dis il a une autre dimension que ce raccourci.

Le style de l'auteur d'abord ? Il est clair, limpide. L'écriture prend son temps que ce soit pour la partie se déroulant au bord de la Saône ,ou pour les épisodes ayant les bord du Gange pour décor.

Lyon est décrite avec amour et mélancolie. On est gagné par les sentiments du héros, gône pur sucre, amateur de bonne chère et à l’œil incisif ; A ce sujet l’atmosphère de la grande bourgeoisie lyonnaise vue à travers la famille de la fiancée de Victor n'est pas loin de Georges Simenon ou de Claude Chabrol. C'est venimeux mais avec douceur, très soft.

L'atmosphère du livre est à ce sujet remarquable, Jean Claude Michot sait nous faire passer d'une librairie à un salon bourgeois pour terminer dans les rues des mégapoles d'Inde en nous y glissant avec facilité.

Lors des pérégrinations du héros en Inde, on sent Jean Claude Michot passionné et habité par son sujet. Ces pages là sentent et respirent les odeurs de Bénarés. Il y a de la couleur et du parfum dans l'écriture. J'ai quelquefois pensé en moins sombre à Ian Mc Donald. On voit presque le film se dérouler devant nous et les cadavres flotter devant nous.

Les personnages sont beaucoup plus que des silhouettes. Entre un Victor dont les actes sont tantôt guidés par la colère, ou par son amour et la famille de Mylène qui est loin de répondre à la caricature que l'on pourrait attendre, on est surpris par la richesse de personnage dont on se dit quelquefois qu'on aimerait les connaître ( enfin bon pas l'une d(entre elles tout de même). Pour finir on peut se dire qu'on passe un excellent moment avec Jean Claude Michot et qu'on retrouvera avec plaisir sa plume dans un proche avenir.

Un livre à lire qui mérite plus que le détour !

Difficile de parler du livre de Jean-Claude Michot sans en dévoiler la trame et priver ainsi le lecteur du plaisir de la découverte.

Retenez néanmoins, comme il est d'ailleurs révélé dans la quatrième de couverture, que nous suivons l'aventure de Victor, libraire de son état, fiancé avec la fille d'un grand laboratoire pharmaceutique, qui, atteint d'une maladie incurable, prend la décision d'aller mourir à Bénarès, en Inde, ville des dieux, ville des morts, baignée par le Gange, fleuve sacré pour les hindous.

Dans la première moitié du roman, située à Lyon, l'auteur aborde, tout en nous exposant les péripéties qui émaillent la vie de Victor, divers sujets similaires à ceux que nous connaissons actuellement. Il y parle notamment d'un étrange virus ayant occasionné la mort de quelques milliers de personnes, de population masquée, de vaccins aux effets secondaires incertains…

L'ensemble du récit, qui pourra, peut-être, paraître singulier aux yeux de certains, est cependant bien construit, agréable à lire, et sans temps morts. L'on se surprend d'ailleurs, au cours de la lecture, à vouloir connaître sans tarder la suite de l'histoire.

Pour ma part, j'ai surtout été charmé par la seconde partie du roman, située en Inde. Grâce aux descriptions fortes de l'auteur, qui transpirent le vécu, nous ressentons, tout comme Victor, dès l'arrivée à l'aéroport de New-Delhi sous une température de 32 degrés, une sensation de dépaysement total nous submerger à la découverte de ce pays, de ses coutumes et de la vie de ses habitants. Comme dans un film, les images défilent alors dans notre tête, belles et tragiques, à la fois.

En conclusion, un très agréable moment de lecture.

J'ai vraiment apprécié ce roman et me suis attachée à ce personnage passionné et passionnant qu'est Albert...cet éternel amoureux qui a vu l'amour sous toutes ses couleurs allant du rêve bleu au vert espoir jusqu'au noir profond...pour lui l'enfance ne fut guère un long fleuve tranquille...son parcours professionnel ne lui donnant pas pleine satisfaction il se tourne alors vers l'écriture pouvoir noircir des pages avec ses rêves dans lesquels il voit son avenir amoureux auprès de la belle Sidonie son amour de jeunesse non avoué et surtout jamais oublié..par le hasard ou le destin et contre toute attente ses rêves commencent à prendre vie..on suit avec beaucoup d' intérêt le parcours d'Albert en se demandant jusqu'où la réalité va-t-elle rejoindre les rêves ?ou ces rêves vont-ils devenir cauchemars ?les réponses sont dans la plume de l'auteur savamment dosée énigmatique et dynamique...en prime l'auteur nous offre quelques clin d'oeil humoristiques sur certains clichés du milieu littéraire qui m'ont bien fait sourire..j'ai trouvé un juste équilibre entre les dialogues et le volume peu conséquent de ce roman qui se lit sans temps morts .....à découvrir !!!!!!!!!!

Au départ de ce roman, la découverte d’une clé USB débordante de détails concernant un sombre complot sur fond de pandémie mondiale entraine un couple dans un tourbillon morbide avec la mise en danger de tous ceux qu’ils approchent de près. L’intrigue se situe en 2020 et le titre du roman pourrait susciter des parallèles rapides et faciles avec la pandémie qui touche le monde actuel et toutes les conséquences humaines et économiques qui en découlent. Cependant, nous sommes dans une fiction, une dystopie, l’auteur nous en avertit dès la première page ! Le contexte se prête en effet parfaitement à l’intrigue d’un thriller glaçant, avec tous les codes du thriller : le suspense, la fuite pour la survie de ceux qui, happés par la curiosité, se sont retrouvés au mauvais endroit au mauvais moment, un complot au cœur de l’intrigue, des tueurs professionnels qui jouent sans scrupules du pistolet équipé de silencieux, des rebondissements multiples…. On trouve au centre de cette intrigue des personnages très humains et attachants qui luttent sans armes pour survivre et le personnage d’un tueur vieillissant qui cherche la rédemption. Le lecteur se retrouve embarqué dans une histoire très rythmée, qui se lit rapidement et fébrilement pour en connaitre le dénouement. Au final, un thriller prenant et bien divertissant !

Et si la pandémie actuelle avait été programmée par les forces obscures qui dirigent le monde afin de créer un nouvel ordre mondial ?

Au départ de cette hypothèse singulière, l’auteur nous entraîne aux côtés de Max, quidam ordinaire entré par hasard en possession de preuves accablantes de cette conspiration, dans une fuite éperdue pour échapper à la traque des liquidateurs lancés à sa poursuite et à celle de son épouse.

D’une écriture fluide et simple, sans effets de style qui plomberaient le récit, l’auteur nous happe littéralement et nous oblige à tourner les pages de plus en plus fébrilement pour, enfin, connaître le dénouement de l’intrigue qu’il a imaginée.

C’est court, rythmé, agréable à lire. Cela me rappelle les romans de gare traitant d’histoires policières ou d’espionnage, tant décriés par certains, mais dans lesquels se retrouve une vie, un plaisir d’écrire, une belle inventivité.

À découvrir.