Jean-Louis Thivolle

Éric a réussi à prendre le contrôle de la tour. Ce n'était pas une chose facile car elle l'oblige à rester à l'intérieur pour tout contrôler alors que lui veut aller sur le terrain. Il est donc le nouveau mage, cette fonction ne lui fait pas prendre la grosse tête. Il reste le même et apporte son aide aux personnes dans le besoin, peu importe sa race. Lorsque des gnomes arrivent dans un état critique, il les soigne sans attendre. Ces derniers vont lui apprendre qu'il se trame quelque chose au pays des trolls. Éric décide d'y aller avec une équipe. Pendant ce temps-là, les nains doivent s'occuper de bloquer les orcs.

Éric va-t-il aider les trolls ? La tour commence à avoir des réactions bizarres est-ce normal ? Est-il le seul à pouvoir la contrôler ?



La couverture simple suit la trame des autres romans de cette saga et le titre évoque le sujet principal. Nous retrouvons nos personnages préférés et beaucoup de nouveaux également. Une histoire pleine de rebondissements où le personnage principal n'hésite pas à se mettre en danger pour sa communauté. Même si les protagonistes sont de races différentes qui ne s'entendent pas, Éric a réussi à créer un groupe solide. Maintenant c'est l'esprit fraternel qui domine, l'entraide se fait naturellement. Les personnes au pouvoir des peuples sont des êtres malfaisants qui n'hésitent pas à user de la torture pour obtenir ce qu'ils veulent de leur peuple. Beaucoup de traits se rapprochent du monde réel, ce qui ajoute un petit plus à l'histoire et nous emporte auprès des personnages. La plume de l'auteur y est aussi pour beaucoup, elle nous fait voyager dans un monde où l'on peut devenir ce que l'on veut et surtout vivre tous en paix. Un 3eme tome à la hauteur, l'histoire ne s'essouffle toujours pas au contraire j'ai trouvé qu'il y avait encore plus d'actions dans ce tome là. Je vais de ce pas entamer le dernier livre de la saga.

Le Mage : Le Mage de la Tour Noire, deuxième tome de la saga éponyme signée par Jean-Louis Thivolle, se démarque par de nombreux points forts qui en font un incontournable pour les amateurs de fantasy.

Tout d'abord, l'univers créé par l'auteur est une véritable pépite. Il est original et solidement construit, ce qui permet au lecteur de plonger profondément dans un monde fascinant et immersif. L'histoire ancienne et la mythologie qui l'accompagnent ajoutent une profondeur exceptionnelle à l'ensemble, créant ainsi une toile de fond complexe qui enflamme l'imagination.

Les intrigues, quant à elles, sont la clé de voûte de ce roman. Elles sont riches, variées, et maintiennent constamment le lecteur en haleine. La quête de nos héros pour prouver leur valeur en accomplissant des épreuves tout en affrontant les forces du mal constitue une trame narrative passionnante. Les rebondissements inattendus et les défis qui se présentent à eux ajoutent une couche de suspense qui rend difficile de lâcher le livre une fois qu'on l'a commencé.

Le style d'écriture de Jean-Louis Thivolle est simple et direct, ce qui rend l'histoire accessible et fluide. Il ne s'encombre pas de descriptions superflues, mais parvient tout de même à créer une atmosphère d'aventure et de suspense qui tient le lecteur en haleine tout au long du récit.

Bien que Le Mage soit un livre remarquable, quelques longueurs dans la deuxième partie du roman peuvent être un point faible pour certains lecteurs impatients. Cependant, ces moments plus calmes contribuent à développer davantage les personnages et à approfondir l'intrigue globale.

En conclusion, Le Mage : Le Mage de la Tour Noire est un incontournable pour les amateurs de fantasy. Avec son univers original et bien construit, ses personnages attachants et bien développés, ses intrigues captivantes et son style d'écriture fluide, il offre une expérience de lecture enrichissante. Malgré quelques rares longueurs, ce roman est une véritable pépite qui mérite d'être découverte et savourée par tous ceux qui aiment l'aventure fantastique.
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Je ne connais pas Jean-Louis Thivolle et une recherche simple sur Internet ne m’en n’a rien dit de plus, mais il est fort probable qu’il vive à l’étranger, en Asie, et qu’il soit d’un âge mûr. Toujours est-il qu’il vient de publier un premier roman et qu’il m’en a adressé un exemplaire, ce dont je le remercie.

« Éric, un ancien commando, a ses nuits hantées par des cauchemars. Est-ce-que tous ces cauchemars sont liés au traumatisme qu’a été sa mission ? La seule vraie mission de sa vie de militaire avait été un succès complet, tant technique qu’opérationnel, mais il avait mal vécu les conséquences humaines, ce qui avait entraîné sa démission. Une volonté s’immisce dans son esprit, chaque nuit, lui faisant revivre un épisode de sa vie. Le visiteur semble vouloir lui enseigner des choses, dont une langue aux sonorités étranges. Pour retrouver la sérénité, Éric décide d’effectuer une randonnée solitaire, en montagne. C’est là qu’il est capturé par des brumes ionisées. Il reprend connaissance dans un autre monde, pour y être le Mage de la Tour Noire. Qui a organisé cette capture et dans quel but ? »

Si Internet ne révèle rien de l’auteur, un premier roman en dit souvent beaucoup et Eric, le héros narrateur du livre, pourrait nous dire que Jean-Louis Thivolle connait bien l’armée, les sports physiques dans la nature et l’informatique. En tout cas ce sont les atouts de son personnage fictif dans ce roman que j’inscrirais dans le registre de la Fantasy pour la jeunesse. Fantasy, puisqu’il y est question d’un monde parallèle avec des Elfes, des Gnomes et des Orques ; roman pour la jeunesse, car l’ensemble manque de profondeur même si l’auteur lâche quelques réflexions visant en creux notre époque, comme la rivalité entre les races.

Un premier roman qui n’échappe pas aux travers du genre, comme souvent quand ils sont auto-édités. Trop long, ou plutôt mal cadencé, d’ailleurs Jean-Louis Thivolle lui-même peine à achever son ouvrage, le dernier quart de ces quatre cents pages est faible, alors qu’il devrait justement être plus palpitant. Pourquoi tout d’un coup, toutes ces scènes de sexe à répétitions, très softs au demeurant et particulièrement nunuches ? Mais surtout, cet épilogue gâché, presque balancé au lecteur pour enfin en terminer ! Déjà qu’il n’est pas particulièrement réussi d’un point de vue scénaristique (message de paix simpliste), il est bâclé narrativement, comme si l’auteur était déjà dans la phase suivante, imaginer une suite à son opus. Par ailleurs, une relecture plus sérieuse aurait pu nous éviter les fautes d’orthographe ou de frappe et de grammaire semées par-ci, par-là.

Pour conclure, ce n’est pas un mauvais roman même s’il n’a rien d’original non plus dans le genre choisi par son auteur, il n’a que les défauts de sa jeunesse. Et si la fin avait été mieux négociée ou plus forte, il aurait certainement gagné en intérêt.

Par : Marion Reau

La jeune Lisa Meunier gît en bas de la montagne. Pour ce peuple de l'espace, c'est une aubaine. Ils voulaient surveiller les humains sans se faire repérer. Alors ce corps sans vie servira de camouflage. La reine de l'essaim prendra possession du corps de Lisa et le fera vivre. Mais tout ne se passe pas comme prévu, une météorite percute le vaisseau mère et tue tout l'essaim sauf une petite travailleuse. Cette dernière décide de continuer le programme prévu et prend possession du corps. Ce n'est pas facile et demande beaucoup d'énergie. Elle atterrit dans un endroit perdu au cœur de la forêt, une maison n'est pas loin, mais n'est peut-être pas habitée.

Arrivera-t-elle à s'intégrer ? Que va-t-elle faire dans notre monde ?

La couverture représente le personnage principal. Une histoire pleine d'amour et de découvertes. Les personnages sont dotés d'une bienveillance et d'une écoute très développée. Pas de jugement entre eux, juste un besoin de se découvrir les uns des autres. Comparée à la saga de l'auteur, cette histoire n'est pas faite pour les ados et les adultes. Mais seulement pour ces derniers, car les personnages découvrent leurs corps avec beaucoup de détails qui ne conviennent pas à des lecteurs de moins de 16 ans. Ça ne m'a pas empêché d'aimer ma lecture, l'histoire des trois personnages et leur personnalité. Leurs inventions pourraient faire rêver plus d'une femme (et certains hommes) qui ne veulent plus souffrir pour devenir glabres. L'auteur a beaucoup d'imagination et sa plume très agréable.
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J’ai été content, lorsque l’occasion m’a été donnée, via le service de presse, de lire cette œuvre de Jean-Louis Thivolle.



Déjà parce que cela fait toujours plaisir d’avoir un auteur qui vous contacte pour vous proposer son travail à lire et à chroniquer.



Mais surtout, on est dans la Science-Fiction, lecture que je ne connais pas bien et que je ne lis pas souvent.



Il faut dire que je suis à fond dans tout ce qui est policier, polar ou thriller et que les occasions de lire d’autres choses sont de bonnes occasions de prendre plaisir et d’avoir un petit vent de fraîcheur.



Et cette fois-ci, cela a encore été le cas !



Je dois quand même avouer que j’ai eu un peu de mal à me plonger dedans. Je pense que le fait de commencer au tome 2 n’est pas chose évidente pour bien commencer l’histoire.



Il nous manque donc, dès le début, un morceau de l’histoire pour en comprendre davantage.



Cela n’empêche en rien la lecture, rassurez-vous, loin de là même…



Je suis un lecteur très « terre à terre », j’avais besoin de cette information ahahaha



Après, j’ai été plongé littéralement dans le monde de la science-fiction.



Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’imagination de l’auteur est très productive !



On se retrouve donc parfaitement dans un mode de science-fiction, rempli d’orcs, d’elfes, d’actions, d’armes et de matériel futuriste…



Tout est détaillé, ciblé, on sent que l’auteur adore ce type d’écrit, il y prend du plaisir, et nous le transmets.



Avec ses 350 pages, ce roman plaira aux vrais fans du genre. C’est incontestable.



Il est dense, attrayant, bien écrit et surtout suit une réellement progression.



On est plongé dans l’histoire et on découvre avec plaisir les aventures des héros.





Mais si j'ai eu un peu de mal car ce n'est pas mon type de lecture habituelle, si pour vous, à contrario de moi, il s'agit de votre type de lecture favori, vous allez simplement adorer, cela fait peu de doute.



Pour ma part, je lui mets la note de 14/20



Je remercie encore l’auteur pour sa confiance et même si je ne suis pas le lecteur parfait de son livre, j’ai pris du plaisir à le lire et à le découvrir.



Il mérite vraiment plus de visibilité !
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Je ne peux pas faire de résumer pour ce livre, je ne vais donc que donner mon avis et mon ressenti.



Comparé aux autres romans de l'auteur qui étaient de la fiction, celui-ci parle des pensées et problèmes que nous rencontrons chaque jour. Plusieurs thèmes abordés, la religion,les sectes, la guerre, l'écologie, le réchauffement climatique mais aussi la naissance du monde. L'auteur s'ouvre à nous pour nous donner son ressenti, à aucun moment il n'essaie de nous convaincre ou de penser comme lui. Ça c'est agréable car nous avons plus l'impression de converser que de lire un livre d'histoire où la pensée est unique. Pour chaque sujet, l'auteur dit ce qu'il pense et nous donne la référence quand il évoque certains documents où fait qui se sont déroulés. Nous sentons à travers ses mots sa colère par moments mais aussi son désarroi lorsqu'il parle de l'avenir de notre planète. Il avoue ses torts et ses fautes sans tabous. J'ai appris des choses lors de ma lecture qui me semblent importantes à connaître. J'ai été assez surprise d'apprendre que ce sont des personnes hautes placées qui se font le plus couramment envoûtées dans les sectes. Une lecture qui me sort de ma zone de confort mais ce n'est pas désagréable. J'apprécie la plume de l'auteur et sa façon d'aborder les sujets.

La jeune Lisa Meunier gît en bas de la montagne. Pour ce peuple de l'espace c'est une aubaine. Ils voulaient surveiller les humains sans se faire repérer. Alors ce corps sans vie servira de camouflage. La reine de l'essaim prendra possession du corps de Lisa et le fera vivre. Mais tout ne se passe pas comme prévu, une météorite percute le vaisseau mère et tue tout l'essaim sauf une petite travailleuse. Cette dernière décide de continuer le programme prévu et prend possession du corps. Ce n'est pas facile et demande beaucoup d'énergie. Elle atterrit dans un endroit perdu au coeur de la forêt, une maison n'est pas loin mais n'est peut-être pas habitée.

Arrivera-t-elle à s'intégrer ? Que va-t-elle faire dans notre monde ?



La couverture représente le personnage principal. Une histoire pleine d'amour et de découvertes. Les personnages sont dotés d'une bienveillance et d'une écoute très développée. Pas de jugement entre eux, juste un besoin de se découvrir les uns des autres. Comparée à la saga de l'auteur cette histoire n'est pas faite pour les ados et les adultes. Mais juste pour ces derniers car les personnages découvrent leurs corps avec beaucoup de détails qui ne conviennent pas à des lecteurs de moins de 16 ans. Ça ne m'a pas empêché d'aimer ma lecture, l'histoire des 3 personnages et leur personnalité. Leurs inventions pourraient faire rêver plus d'une femme (et certains hommes) qui ne veulent plus souffrir pour devenir glabres. L'auteur a beaucoup d'imagination et sa plume très agréable.

Pauline Orsonneau:

La Tour : le Mage de la Tour Noire, premier opus de la saga signée par Jean-Louis Thivolle, est un ouvrage de fantasy qui évolue dans un univers à la fois original et complexe.

Le récit nous emporte dans les péripéties d'Éric, un ancien membre d'un commando, qui se voit catapulté dans un autre monde, celui de la mystérieuse Tour Noire. Dans ce lieu énigmatique, il endosse la lourde responsabilité de devenir le nouveau Mage, le gardien destiné à protéger la Tour contre les sombres forces qui la menacent.



La Tour : le Mage de la Tour Noire se distingue par son univers à la fois singulier et minutieusement élaboré. L'auteur nous convie dans un monde foisonnant de détails et de créatures fantastiques, plongeant ainsi le lecteur dans une aventure épique et captivante.

Les personnages ne sont pas en reste, ils sont soigneusement développés et suscitent une réelle affection chez le lecteur.



L'intrigue est habilement tissée et maintient le lecteur en haleine de la première à la dernière page. le roman est ponctué de rebondissements et d'escapades trépidantes qui tiennent en haleine et offrent des scènes d'action spectaculaires.
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Ça y est Éric est enfin seul aux commandes de la tour. Celle-ci n'était pas aussi nette qu'elle n'en paraissait. Ça aurait pu lui coûter la vie et celle de ses nouveaux amis. Grâce à cette reprise de commande, il a pu fermer une porte qui n'apportait que des malheurs. La visite chez les trolls approche, Éric et les personnes qui doivent l'accompagner ne sont pas très confiants. Retourner voir un peuple qui les a autant tourmentés n'est pas si simple. Les nains ont une nouvelle activité qui les occupe énormément, malgré leur petite taille ils sont très efficaces. Le mage a repéré un pont qui pourrait leur être très utile mais ce dernier est souvent pris d'assaut par les brigands.

Va-t-il réussir à obtenir ce pont ? Que va-t-il se passer dans le monde des trolls ? La relation entre Chanie et Éric est-elle en train de se ternir ?



Une belle couverture toujours dans la trame de la saga qui représente deux points importants, le pont et le drone/avion. Le titre quant à lui évoque le sujet principal de ce dernier tome. Quatre livres avec une intrigue très bien ficelée. Des paysages imaginaires adaptés aux besoins de ses habitants qui sont des personnages de toutes races. Des amitiés et des histoires d'amour improbables qui naissent. Éric était un soldat dans la vraie vie, ce métier ne lui convenait plus. Malgré tout dans l'autre monde, il doit agir comme tel mais là il instaure la paix et non la guerre. Une histoire qui ne tourne pas en rond et qui ne s'essouffle pas. Un sujet traité en profondeur et d'un bout à l'autre. Des personnages tous tellement différents mais complémentaires, la seule chose qu'ils ont en commun c'est leur grand coeur. L'auteur nous tient en haleine du premier au dernier livre et nous force à tourner les pages pour connaître la suite. Je ne m'attendais pas à cette fin mais elle clôture parfaitement la saga. Après plusieurs jours passés avec les personnages, c'est un crève-coeur de les laisser derrière moi. Ma fille continue de les faire vivre en lisant leur histoire. N'hésitez pas à lire cette saga, vous ne pourrez que passer un très bon moment.

Après des heures à marcher dans le tunnel, le groupe sort enfin au jour. Elle est là, différente de ce qu'Éric pensait mais ses nouveaux amis avaient raison. Elle existe belle et bien. La tour est sale, comme laissée à l'abandon depuis des années. Éric et Chanie en font le tour pour trouver une entrée. Le reste du groupe reste à l'écart pour sécuriser l'endroit. Le couple découvre un petit écart où l'on peut passer pour rentrer dans la tour. Ils tombent rapidement sur une porte qui leur demande des codes. Ces derniers sont difficiles à trouver, Éric et Chanie s'entraident pour trouver la bonne combinaison. Une fois le code trouvé, la tour les met à l'épreuve car il ne peut y avoir que l'un des deux qui peut rentrer à l'intérieur pour le moment.

Pourquoi ont-ils ressenti ces mauvaises ondes en approchant la tour? Vont-ils réussir à rentrer tout les deux ? Leur quête va-t-elle s'arrêter là ?



La couverture est simple mais belle, le titre évoque le sujet principal du livre. Nous retrouvons les personnages du tome 1 et en découvrons d'autres. Tous ont un passé douloureux et rêvent de pouvoir retrouver une vie normale. Même si cette histoire se déroule dans un Pays imaginaire, les problèmes des personnages sont de ceux que l'on retrouve dans la vie réelle. Au fil des pages nos protagonistes se dévoilent, des amitiés naissent également des histoires d'amour. Les communautés s'entraident pour faire front contre l'ennemi. Auprès d'Éric, il n'y a plus de races différentes ni d'inégalités. L'intrigue est bien ficelée et nous entraîne vers un autre monde que l'on imagine facilement grâce aux descriptions de l'auteur. Une plume agréable qui ne se lit pas mais qui se dévore. Un deuxième tome tout aussi bien que le premier, une histoire qui ne s'essouffle pas.

Éric a fait parti des commandos, il était un très bon élément. Sa mission s'est très bien passée, ses supérieurs étaient contents de ses performances. Lorsqu'il a appris le réel but de sa mission, il n'a pas apprécié d'avoir été manipulé. Le militaire décide de quitter l'armée et de retourner dans le civil. Plus de 2 ans après, ses nuits deviennent très compliquées. Il fait des cauchemars, revoit les images des victimes diffusées par les médias. Lors de ses terreurs nocturnes, il entend parler dans une langue qu'il ne connaît pas mais qu'il apprend sans le vouloir. Son patron a bien remarqué que quelque chose ne va pas chez son employé et lui donne quelques jours de repos. Éric décide de partir en randonnée pour s'aérer la tête. D'un coup il tombe dans un trou et se retrouve face à une femme qui parle la langue de ses cauchemars.

Rêve-t-il ? Ou a-t-il atterri ? A-t-il une quête à résoudre ?



La couverture représente le point important de l'histoire et le titre évoque l'un des personnages du roman. Une histoire captivante qui nous entraîne dans un monde peuplé de créatures. Ces dernières font partie de la mythologie pour nous, mais sont réels dans l'autre monde. Chaque peuple a sa façon de vivre, notre personnage principal doit à chaque fois prouver sa bonne foi pour ne pas être tué. Il va affronter des ennemis beaucoup plus forts et dangereux au fur et à mesure de son avancée dans l'univers où il est tombé. Des amitiés et des alliances vont naître qui vont rendre chaque population plus forte face au danger. Lorsque l'auteur nous parle de la mission commando du personnage principal, il nous fournit des explications complètes sur certains mots et expressions militaires. Une intrigue bien ficelée qui nous fait voyager dans un autre monde. J'ai hâte de lire la suite pour découvrir les nouvelles aventures de nos personnages adorés.

La Tour : Le Mage de la Tour Noire, premier opus de la saga signée par Jean-Louis Thivolle, est un ouvrage de fantasy qui évolue dans un univers à la fois original et complexe.

Le récit nous emporte dans les péripéties d'Éric, un ancien membre d'un commando, qui se voit catapulté dans un autre monde, celui de la mystérieuse Tour Noire. Dans ce lieu énigmatique, il endosse la lourde responsabilité de devenir le nouveau Mage, le gardien destiné à protéger la Tour contre les sombres forces qui la menacent.



La Tour : Le Mage de la Tour Noire se distingue par son univers à la fois singulier et minutieusement élaboré. L'auteur nous convie dans un monde foisonnant de détails et de créatures fantastiques, plongeant ainsi le lecteur dans une aventure épique et captivante.

Les personnages ne sont pas en reste, ils sont soigneusement développés et suscitent une réelle affection chez le lecteur.



L'intrigue est habilement tissée et maintient le lecteur en haleine de la première à la dernière page. Le roman est ponctué de rebondissements et d'escapades trépidantes qui tiennent en haleine et offrent des scènes d'action spectaculaires.
Lien : https://www.escapades-litter..

Ce livre n’existe plus, il représente une première édition, publiée chez Edilivre. J’ai dénoncé le contrat d’édition et récupéré mes droits, J’ai complètement repris le texte en gardant la trame et cela est devenu les trois premiers tomes du Mage de la Tour Noire, respectivement, La Tour, Le Mage et La Révolte, que j’ai complété par un quatrième Livre : Le pont. Le tout étant édité, à mon entière satisfaction, chez Amazon KDP. Plus tard, j’ai effectué la traduction en anglais de cette série. Un bien plus gros travail que l’écriture, avec deux grosses difficultés. Le genre, car contrairement au français qui accordera le possessif de la troisième personne du singulier avec ce qui est possédé (son chien, sa fille), l'anglais accorde en genre avec le possesseur, our book = notre livre / our books = nos livres. et les expressions idiomatiques ( traduisez : Les doigts dans le nez (With one’s hands tied behind one’s back) ou être soupe au lait (To have a thin skin) ).