A la recherche de documents sur le golfe du Morbihan, je voulais peindre les coiffes de St Gildas de Rhuys, et Oh! surprise une vraie redécouverte d'un livre de photos sur des paysages que je croyais si bien connaitre.
Des textes simples mais justes et quelques belles citations d'auteurs connus créent au fil des pages des repères et des moments de réflexions pour mieux goûter au plaisir des yeux.
L'originalité des thèmes et des lieux complète cette impression de dépaysement qui pour un flâneur de ces grèves est une réussite .
Et que dire des oiseaux, tadorns, grèbes, mouettes si bien photographiés par Rémy Basque, Jean-Marc Cotta les fait vivre de façon lumineuse et insolites. Bleuffé par cet Archipel poétique la même magie que celle de Jean-Lou Guillain la magie du golfe sans les aquarelles.
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Là bas, ce sont des îlots aux falaises abruptes où la végétation peine à se faire une place parmi la roche volcanique.
Là bas, ce sont de gens humbles, chaleureux, généreux qui rêvent d'horizons lointains.
Là bas, les femmes et les hommes aiment se faire beau... vivent d'amour et de peu de choses.
Là bas, c'est la sôdade, mélange de sentiments de tristesse, de nostalgie mais aussi de joie.
Ce là bas, ce sont les îles du Cap Vert. Elles nous sont contées ici par un bon connaisseur des lieux : Jean Marc COTTA.
Son livre est un mélange de photos monochromes, de textes et de poèmes qui ne sont que odes à cet archipel si attachant.
Oh ! Qu'il me donne l'envie d'aller y poser mes valises et de m’imprégner des airs de Césaria Evora.
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