Extrait 7
De fatigue je me suis assis sur une roche. Mes mains
soutenaient ma tête désolée, car aucun de mes sem-
blables n’avait d’indulgence pour moi. J’entendis une
voix douce me dire : «Tu n’es plus seul mon frère».
Cette voix était celle d’un petit cours d’eau.