On la dit bavarde (l'hirondelle). Son chant n'est pas, comme celui du rossignol, un ruisseau de lumière qui s'écoule dans la nuit, un chant ivre de dryade dissimulée dans l'obscurité de la forêt. Mais elle a sa place dans le bestiaire des bêtes à Bon Dieu. Elle porte sur les ailes la vertu d'espérance.