Le calife ne fait rien, et il le fait bien. Il sort rarement de son palais, où il se distrait paisiblement en jouant aux échecs. Il ne perd jamais, car, son adversaire, en bon courtisan, lui signale les coups.
LE COURTISAN : Attention, Commandeur des croyants ! Si vous bougez votre esclave, je prends votre caravansérail avec mon janissaire et je fais échec au sultan !