La neige le rendait toujours mélancolique, car il avait neigé toute la nuit lorsque sa mère était morte. Les matins de neige, il allait s'asseoir dans la chambre d'amis où elle s'était éteinte en douceur ; il restait encore de ses vêtements dans la penderie — un souvenir de son parfum, parfum d'un pays étranger et de sa cuisine, s'accrochait encore à ses saris.