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Critiques de Josette Bruce (25)
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OSS 117 : Cavalcade à Rio

On ne peut pas dire que c’est le roman de l’année 1974 dans le style et dans le scénario. Ce dernier a d’ailleurs un peu de mal à se mettre en place, pour un roman de 188 pages, c’est assez gênant. Pourtant, on retrouve les clichés qui font le charme des OSS 117, un héros trop sûr de ses charmes, de son intelligence et de sa force, des méchants très pervers et surtout des jeunes femmes diaboliquement belles qui ne résistent pas une seconde à Hubert Bonisseur de la Bath. Vous en reprendrez bien un autre volume ? … oui !



L’avion atterrit sur une piste de l’aéroport de Rio, OSS 117 qui doit retrouver sa fiancée, sort en dernier avec une vieille dame et une charmante hôtesse de l’air. Ils essuient alors un tir nourri, dont la vielle dame sera victime. Est-ce lui qui était visé, l’hôtesse ou la grand-mère ? OSS 117 va suivre son intuition et très régulièrement les jolies femmes pour démêler les fils qui ont conduit à cette curieuse fusillade.



Après la mort prématurée de Jean Bruce en 1963, c'est son épouse Josette qui reprend le flambeau pendant vingt ans et prend en main la destinée d'Hubert Bonnisseur de La Bath. Elle en écrira plus de 140 tomes, alors que Jean Bruce en avait publiés 88.

En clin d’œil, j’adore la dernière de couverture, une eau de toilette « Drakkar » pour les hommes qui aiment la tempête. Me voilà en possession d’un des 140 millions d'exemplaires dans le monde.



❓Vous êtes plutôt OSS 117 ou James Bond ?


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OSS 117 : Déluge à Delhi

Nul.

Voilà une veuve sans aucun talent littéraire, à moins que ce soit son "nègre",

car on peut penser qu'elle n'a fait qu'appliquer son nom sur la jaquette, (en prenant bien soin d'occulter son prénom) et se contente d'encaisser les chèques.

Une veuve bien triste.



Commenter  J’apprécie          1914
OSS 117 : Sans fleurs ni Floride

J'aime bien de temps en temps me replonger dans l'univers de la guerre froide, des machos buvant, fumant et jouant au poker. Avec publicité pour une marque de cigarettes en 4ème de couverture.

Les méchants parlent l'Espagnol (Cuba ) avec l'accent allemand (nazi)...

Le style en direct sur l'action, mais utilisant le contexte historique avec habileté, manipule le second degré avec assez de finesse pour rendre ce roman divertissant comme une BD de Lady S... sans les dessins.

Josette Bruce n'en est pas à son premier essai, mais son histoire a un peu de mal à tenir debout et le suspens se perd un peu dans les conflits internes des communautés cubaines !

L'humour d'OSS 117 n'est pas celui des films d'Hazanavicius, et c'est un peu ce qui manque à cet opus.
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OSS 117 : Frénésie à Nicosie

Chypre, une bombe explose en zone turque. On accuse les Grecs.

Une bombe explose en zone grecque.on accuse les Turcs.

Des rumeurs de mettent alors. A circulé accusant la c.i.a.d, être a

L, origine des attentats.

Hubert bonisseur de la bath, Oss

117 et envoyé à Nicosie pour voir de quoi il retourne.

Une histoire rythmé qui illustre le proverbe invitant à ne pas se fier aux apparences.

On me s, ennuis pas.🧋
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OSS 117 : OSS 117 en conflit à Bali

Ecrit en 1974, cette énième aventure d’Hubert débute donc Indonésie et propose, dans son premier tiers, un descriptif touristique des quartiers chauds de Djakarta. A la façon du « guide du routard », Josette Bruce nous balade du côté des prostituées, des travestis, des mafieux, des petites frappes, etc. La romancière explique les habitudes culinaires des Indonésiens, propose une promenade touristique dans les lieux réputés et se plie aux conventions du dépaysement à l’ancienne, avant la démocratisation des voyages aériens, lorsque le lecteur devait recourir à ce genre de petit bouquin pour s’offrir sa dose d’exotisme. Puis, l’autrice nous fait rencontrer d’anciens déserteurs de l’armée US qui vivotent sous les tropiques. Tout un côté pittoresque et colonial de bon aloi. Enfin, le récit d’espionnage proprement dit débute et se conforme aux conventions attendues : trahisons, jolies filles, coups de poings et fusillades,… Rien de neuf pour l’infatigable OSS 117.

Difficile dans dire davantage ou de détailler ce roman très conventionnel. Josette Bruce reprend les recettes établies par son défunt mari (Jean Bruce) au fil de dizaines de bouquins quasiment interchangeables mais souvent plaisants. Hubert Bonisseur de la Bath parcourt le monde, chaque pays étant exploré de manière rapide au gré d’histoires très classiques. Les titres, avec leur jeu de mot un peu facile, et les couvertures, avec une demoiselle dénudée, annoncent immédiatement la couleur, nous sommes dans la littérature de gare. Pour le pire mais aussi le meilleur.

Josette, contrairement à son rival Gérard DeVilliers, n’a sans doute jamais mis les pieds dans les contrées décrites. Les cinéphiles convoqueront dès lors, davantage que les récentes adaptations parodiques avec Jean Dujardin, l’univers du « Magnifique » dans lequel Bebel expédie son héros, « pagayant comme un fauve », d’un coin à l’autre d’une terre parcourue par l’écrivain à coup de cartes et de guides touristiques. Mais qu’importe ! Les OSS 117 restent distrayant et ne cherchent pas à concurrencer les intrigues tarabiscotées et la politique fiction de SAS. Nous sommes ici dans « l’espionnite » basique, proche des longs-métrages fauchés qui, à la fin des sixties, cherchaient à rivaliser avec James Bond, les moyens en moins.

Manichéen, vite fait bien fait (dans les limites de ce genre de roman de gare), riche en action, ponctué d’une louche d’érotisme et d’une pincée de violence sadique, OSS 117 donne au lecteur ce qu’il souhaite : de l’évasion facile. EN CONFLIT A BALI reste fidèle à la formule et n’apporte donc aucune surprise, ni bonne ni mauvaise. Parfois, cela suffit pour passer trois heure de lecture tranquille.


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OSS 117 : Traîtrise à Venise



Une véritable découverte pour moi puisqu'il s'agit de la toute première enquête de l'agent OSS 117 que je lit. J'ai ouvert ledit polar avec quelques appréhensions, peut-être dû à la couverture quelque peu accrocheuse, et, dans laquelle se dégage un certain érotisme.



Contre toute attente, cela ne m'a pas déplu. Cela même si les aventures et autres mésaventures d'Hubert Benisseur de la Bath, allias OSS 117 - sous couvert de guerre froide - contre la mafia ne restera pas dans mes annales policières.



Il est vrai que ce roman dit de gare possède un certain cachet, que je qualifierais de désuet et suranné. A l'image des différents personnages qui reflètent toute une époque. Un certain "charme" se dégage au fil des pages, mais, à condition de ne pas s'enfiler à la suite tous les OSS 117. Du moins, en ce qui me concerne. Un titre au passage suffit amplement.



A lire avec curiosité.



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OSS 117 : OSS 117 compte les coups

on retrouve avec plaisir oss

117 et Enrique,dans une enquête aux multiples rebondissements.fort bien mené ,émaillé d'une cascade de quiproquos.
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OSS 117 : Imbroglio à San Diego

Enrique sagarra et chargé d,éliminé discrètement un journaliste devenu dangereux.

l,ennui c'est que deux bandes adverse veulent en faire autant.

résultats quatre morts au lieu de un. Hubert bonisseur de la bath, oss117 est chargé de prendre l,affaire en main avant que la situation ne devienne inextricable.c'est bien ficelé,avec de bonnes scènes d,action.👍
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OSS 117 : Vacances pour OSS 117

pour une fois que Hubert

bonisseur de la bath ( oss. 117 ) prend de vrais vacances, il va recueillir un

gosse renversé par une voiture.en le ramenant a ses

parents, il va faire connaissance de sa grande

soeur graciela. tout pourrait

aller pour le mieux, si un

mystérieux inconnu,ne lui

envoie pas des tueurs.

et pour pouvoir faire l, amour, Hubert va devoir faire la guerre.

un scénario sans maladresse. une bonne intrigue captivante.👍
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OSS 117 : Des pruneaux a Lugano

pour les amateurs d,action.
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OSS 117 : OSS 117 en péril

Que dire ? Rien sauf que Hubert bonnisseur de la bath s'en sort tjrs par miracle et ce qu'il aime avant tout c'est les femmes... Le James bond a la française, ça m'a fait beaucoup rire, ça fait du bien par les temps qui court... Allez un petit résumé sympa : OSS 117 est engagé dans une affaire des plus dangereuses au Venezuela, suite à l'explosion d'un bateau au large des usa, ils ont retrouvé des obus ABC ( chimique, gaz etc etc), donc il est envoyé la bas pour trouver des infos, dans un groupe d'anarchiste / communiste/marxiste qui sont en pleine rébellion contre le gouvernement en place... Bref plein d'aventure en aventure, mais Hubert est tjrs la..
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OSS 117 : Sur un volcan

Hubert bonisseur de la bath, Enrique sagarra, César Walter, un beau trio.

mais dans l île de Java pour

eux, la java n'est pas pour demain.dans un pays où les éruptions volcaniques

sont presque quotidiennes,

leur situation est explosive.
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OSS 117 : Coup de masse aux Bahamas

trois après la mort de son mari Josette Bruce fait revivre avec le même succès le héros crér dans les années 60. on aura plaisir à retrouver les belles femmes, les méchant, l.humour et l ,action qui faisait le charme des albums précédents.

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OSS 117 : Sans fleurs ni Floride

en 1966 quatre ans après la mort de son mari Josette

Bruce fait revivre l, agent

secret Hubert bonnisseur de la bath alias oss 117.

on retrouve avec plaisir

tout le charme de la série,

les jolies femmes, qui me demande qu a suconnber

au héro, les méchants plus

retors les un que les autres,

le suspense, l, humour et l,

action qui faisait tout le charme des précédents albums.bref on peut remercier les presses de la

cité d, avoir réussi à convaincre Josette de continuer l, oeuvre de son mari.

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Sur un volcan a Abidjan

L'action se déroule dans l'Abidjan des années 80 :

criant de vérité !

Le quartier chaud de Treichville comme si vous y étiez (le restaurant "Chez Paul" et son bar à filles...) .

Un modèle de bon roman d'espionnage planté dans un Abidjan de la grande époque...
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OSS 117 : Pas de pigeons à Venise

une bonne histoire d,action sans temps mort.qui distille avec savoir suspense et péripéties.
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OSS 117 : Mise en scène au Sénégal

Un OSS 117 des plus classiques. Ce n'est évidemment pas du Victor Hugo mais on ne lit pas Josette Bruce pour ça. Toujours la même crémerie, des espions, des terroristes (indépendantiste dans le cas présent), une femme fatale belle et intelligente (qui ne manquera pas de tomber dans les bras de Bonnisseur de la Bath d'un simple clin d'oeil). Bref rien de nouveau sous le soleil sénégalais.

Si ce n'est que la lecture de ce tome est plaisante, on passe un bon moment et pour peu qu'on le prenne au second degré, on s'amuse.
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OSS 117 : Dérive sur Tananarive

Un OSS 117 dans la lignée habituelle, une histoire d'espionnage-contre espionnage à la sauce sino-russe. Le séducteur Hubert Bonnisseur de la Bath est toujours aussi charmeur visiblement puisqu'il lui suffit d'un bon mot pour faire tomber les femmes (comme d'habitude)



C'est sûr que ce n'est pas de la grande littérature, mais ça détend.
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OSS 117 : Aux commandes en Thaïlande

A relire, dans le genre nanard...
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OSS 117 : Coup de sang à Ceylan

Un nouvel et très classique épisode de l’interminable saga littéraire d’OSS 117, alias Hubert Bonisseur de la Bath, gentilhomme américain d’origine française dont la famille s’est jadis établie en Louisiane pour échapper à la boucherie révolutionnaire.

Juste après la Seconde Guerre Mondiale, Jean Bruce se lance dans ce qui deviendra une des premières (et certainement la plus populaire jusqu’à l’arrivée de SAS) série littéraire française d’espionnage. Le premier roman, ICI OSS 117, parait en 1949 et Jean Bruce en écrira plus de 80 avant de mourir dans un accident de voiture, laissant la série à son épouse Josette. Celle-ci développe les titres en forme de calembours et modernise quelque peu le héros, ajoutant davantage d’érotisme et de violences pour satisfaire le public des seventies. Josette en écrira plus d’une centaine avant de laisser la place à ses enfants qui reprendront en main le destin d’OSS 117 jusqu’à la conclusion de la saga. Pour les inconsolables, il reste plus de deux cents bouquins à découvrir.

Comme précédemment mentionné, depuis que les aventures d’Hubert Bonisseur de la Bath ont été reprises par Josette Brute, notre infatigable espion s’est quelque peu « modernisé » et louche davantage vers ses rivaux SAS ou James Bond, lesquels avaient dépassés en popularité notre pauvre OSS 117.

Ainsi le lecteur de COUP DE SANG A CEYLAN assiste à deux ou trois scènes érotiques (d’environ 2 pages, nous ne sommes pas chez DeVilliers), à davantage de violences et à une montre-gadget avec un émetteur miniaturisé, summum de la technologie de communication trente ans avant les téléphones portables. Le roman dispense toujours l’indispensable exotisme, souvenir d’une époque pas si lointaine où la plupart des gens devaient se contenter de voyager par l’entremise des bouquins de gare. C’était avant les tablettes et les compagnies aériennes low cost. Bref, c’est dépaysant même si certainement écrit avec une carte du pays et le guide du routard à la manière de l’impayable et toujours fauché François Merlin. OSS 117 et Bob Saint-Clar, même combat : divertir le lecteur et lui faire oublier, durant 3 heures, les tracas du quotidien.

A part ça rien de vraiment neuf ni de particulièrement palpitant dans ce roman très (trop ?) classique qui se lit sans déplaisir mais ne dépasse jamais l’honnête moyenne de l’espionnage. Au cinéma, on le qualifierait d’ailleurs plus volontiers « d’espionnite » ou de « sous James Bond » tant Josette Bruce, comme les cinéastes italiens de la fin des sixties, parait vouloir à tout prix marcher sur les traces de Fleming. Si elle ne possède pas toujours les moyens de ses ambitions elle réussit néanmoins à ne jamais ennuyer le lecteur. Comme disait le précité Merlin, « dans chacun de mes bouquins il y a 4 ou 5 bonnes pages » et, généralement, ça suffit à laisser une bonne impression générale. Divertissant et gentiment désuet.


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