On ne peut pas dire que c'est le roman de l'année 1974 dans le style et dans le scénario. Ce dernier a d'ailleurs un peu de mal à se mettre en place, pour un roman de 188 pages, c'est assez gênant. Pourtant, on retrouve les clichés qui font le charme des OSS 117, un héros trop sûr de ses charmes, de son intelligence et de sa force, des méchants très pervers et surtout des jeunes femmes diaboliquement belles qui ne résistent pas une seconde à Hubert Bonisseur de la Bath. Vous en reprendrez bien un autre volume ? … oui !
L'avion atterrit sur une piste de l'aéroport de Rio, OSS 117 qui doit retrouver sa fiancée, sort en dernier avec une vieille dame et une charmante hôtesse de l'air. Ils essuient alors un tir nourri, dont la vielle dame sera victime. Est-ce lui qui était visé, l'hôtesse ou la grand-mère ? OSS 117 va suivre son intuition et très régulièrement les jolies femmes pour démêler les fils qui ont conduit à cette curieuse fusillade.
Après la mort prématurée de
Jean Bruce en 1963, c'est son épouse Josette qui reprend le flambeau pendant vingt ans et prend en main la destinée d'Hubert Bonnisseur de la Bath. Elle en écrira plus de 140 tomes, alors que
Jean Bruce en avait publiés 88.
En clin d'oeil, j'adore la dernière de couverture, une eau de toilette « Drakkar » pour les hommes qui aiment la tempête. Me voilà en possession d'un des 140 millions d'exemplaires dans le monde.
❓Vous êtes plutôt OSS 117 ou James Bond ?
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