Qui peut savoir ce qui se trame dans l’esprit des fous, ou déceler une quelconque logique dans les desseins des serviteurs des puissances de la Ruine ?
{Graham McNeill - Le journal de la colonelle}
Si je dois en croire mes observations, quelles que soient les mésaventures qui peuvent survenir au fil d’une vie, il est quasiment impossible de se défaire des liens qui se forment et de combler les fossés qui se creusent entre un parent et son enfant. {Graham McNeill - Le journal de la colonelle}
Au cours de ma vie, j’ai eu l’occasion d’étudier les écrits de bien des personnages illustres ; tant des saints que des apostats. Le mot écrit a toujours eu le don de me faire rire et pleurer, de me transporter de joie ou de m’ensevelir sous la peine.
Sous toutes leurs formes, les livres ont toujours été pour moi source de savoir, d’émerveillement et d’évasion.
Le journal de la colonelle Grayloc est le premier et seul ouvrage que j’aimerais ne jamais avoir lu.
{Graham McNeill - Le journal de la colonelle}
Il y avait toujours des rats, dans les profondeurs. Partout où il y avait des hommes, les rats les suivaient. Et quand les rats s’en allaient, c’était généralement pas bon signe. {Josh Reynolds - Dans les ténèbres}
La mort. La mort. Toujours la mort.
Juste une journée ordinaire dans la glorieuse armée impériale.
[Peter McLean - L’aigle prédateur]
l’animal ne pouvait comprendre qu’un homme se trouve parfois dans l’obligation de se rendre là où il aimerait mieux ne pas aller.
[CL Werner - Le dernier sang]
Pendant un bref instant de contemplation, je considérai les horreurs que nous sommes capables d’infliger à notre peuple, au nom de la commodité et du profit {Graham McNeill - Le journal de la colonelle}
Comme nous oublions vite notre vigueur juvénile, et avec quelle aisance nous acceptons le naufrage de la vieillesse ! On nous conditionne à trouver cela normal. Mais nous ne sommes pas tous obligés de finir ainsi.
{Graham McNeill - Le journal de la colonelle}
C’étaient ceux qui se mettaient de la boue plein les bottes qui gagnaient les guerres, pas les généraux qui usaient leur fondement à lustrer leur fauteuil. [Peter McLean - L’aigle prédateur]
- Eh bien on devrait toujours s’intéresser à l’histoire. Ceux qui ne le font pas ne font que répéter les erreurs du passé.
[Graham McNeill. Le mieux est l’ennemi du bien]
La mort, comme toute chose, a bien sa place. Elle participe à l'équilibre
cosmique, aussi sûrement que les étoiles brillent dans les cieux, la mort attend chaque chose.
Etre métamorphosé sur l'Enclume de l’apothéose était une expérience aussi traumatisante que transcendante.
L´opération qui décomposait l’âme puis la refaçonnait pouvait causer une perte spirituelle.
Parfois, il ne sagissait que d'une parcelle; un souvenir, un nom. Dans d'autres cas, le sacrifice savérait plus radical. Les
guerriers en revenaient... changés. Toujours loyaux, toujours puisants, mais indubitablement privés de quelque chose de leur vie humaine.